Accueil > Société > Immobilier breton. Un marché sain aux effets pervers
Immobilier breton. Un marché sain aux effets pervers
30 septembre 2004, par Admin« Les prix deviennent tels que, lors des successions, le descendant qui souhaite conserver la propriété de la maison de ses parents ou de ses grands-parents n’est pas en mesure de racheter leur part à ses frères et sœurs ».
« ... aujourd’hui, le problème s’amplifie à Groix, par exemple, où 35 % des acheteurs sont originaires de la région parisienne (contre 36 % d’îliens). »,
Le Télégramme 30/09/2004