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Cédric Le Corf : un artiste sur les traces de l’Histoire
vendredi 12 août 2005, par
« J’ai découvert que, dans le fort du haut-Grognon, ont été détenus 293 prisonniers sans chauffage, avec un ravitaillement minimum et, surtout, supportant des sévices quotidiens, explique-t-il. En deux mois, 46 détenus y périrent ».
Le Télégramme 12/08/200
Commentaires
1. > Cédric Le Corf : un artiste sur les traces de l’Histoire, 12 août 2005, 21:55
Une erreur s’est glissée dans l’article : Les prisonniers étaient détenus dans le camp entre le bourg et le port et travaillaient au Fort du Grognon.
Cedric Le Corf
1. > Cédric Le Corf : un artiste sur les traces de l’Histoire, 13 août 2005, 12:04
On a dû te dire aussi, Cédric, que travaillaient également au Grognon, les réquisitionnés groisillons du STO jusqu’à ce que, pour certains, ils quittent Groix par des moyens les plus rocambolesques et quelquefois la complicité des employés du courrier. (Enfant, j’ai entendu maintes fois raconter cette histoire, mes parents ayant accueilli oncle (Tonnerre) et cousins (Simon) qu’ils ont réussi à planquer chez des amis paysans). Je me suis laissée dire par la suite que tous les "réquisitionnsés" groisillons n’avaient pas cherché à fuir...
AM