Un passant au festival
G.Hammer au Fifig
Un regard différent sur une première soirée marquée par un ciné-concert de toute beauté.
L’isolement n’est pas une ile, l’ile n’est pas un isolement. Seuls les gens s’approchent ou s’éloignent.
Moi, parisien, en ce soir de fête, je suis comblé.
"L ’organisateur" (sic) débarque pour son discours. Comme à l’accoutumée, en présence du maire de Groix et des responsables locaux, il dénonce, il rend la foule heureuse et met les élus (qui s’en moquent et se rattraperont) un peu mal à l’aise (PAS DE NOMS CITES). Bref, le festival à peine commencé… un feu d’artifices est tiré…
Pour l’ouverture, c’est ciné-concert, et je vous assure que le petit parisien que je suis a été fort déstabilisé et rempli d’une chose que je puis définir (et que je n’ai pas vu venir) que par un certain néologisme : « Le Groimage » :
Après visionnage, (« Nanook ») et aux yeux de la foule amassée, je me rassure quelque peu sur l’esprit humain capable de compréhension, de beauté, de respect, et de mouvements.
Conclusion du premier jour
J’ai beaucoup écrit sur l’Amour, hélas, pas assez sur les hommes
Ghislain Hammer pour WikiStrike
La soirée d’ouverture vue par des twittos
extraits :
Merveilleuse soirée à Groix au Fifig Obligation absolue d’y être l’an prochain. Le seul truc:la bouffe infame
Hormis la bouffe officielle infecte mais il y a des restos
On a compris faut déjà réserver pour Groix l’an prochain, y’aura le gîte et la gite propre