Merci Bernard Arnault,
.../...On est parfois effleurés par le doute. Les ultrariches sont-ils aussi étroitement cupides que leur légende noire ? « Comment ils sont en vrai ? » est-on tenté de se demander. En vrai, Arnault est-il aussi tyrannique que le héros invisible du film Merci Patron de François Ruffin ? Il peut nous arriver, tout gauchistes primaires douchés à la bureaucratie que nous sommes, de leur laisser le bénéfice du doute.../...
Révélation : l’hyper-riche est bien conforme à sa légende noire, parfaitement indifférent au sort national, ne voyant pas plus loin que son résultat annuel, et les dividendes de ses actionnaires. Merci Bernard.
Daniel Schneidermann Libération 1er/02/25