C. Mouhanna : "D’un côté, on a un pouvoir qui, après la réforme des retraites a instauré un rapport de force. De l’autre côté, on a des personnes qui, elles, continuent de manifester. Par rapport à cette logique de non-discussion, les forces de l’ordre deviennent un instrument du pouvoir politique. Ce " qui est contraire à la Constitution. L’article 12 de la Déclaration des droits de l’homme stipule en effet que la "force publique est instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée".
P. BAUDAIS. Ouest-France 05/04/23
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