Le FIFIG : la banlieue de Ménilmontant
Cette année, vous n’aurez pas droit aux belles photos de concerts avec couchers de soleil derrière Port-Lay, exil au Gripp oblige, et je ne vous dirai rien des menus offerts aux bénévoles et aux invités ; si ma colère persiste, je vous en confierai peut-être la cause.
Un des plaisirs de ce Festival, et pas le moindre, est de retrouver des vieilles connaissances et de s’en créer davantage dans une ambiance connue et appréciée.
Cette année plus que d’autres, on aurait pu se demander s’il n’avait pas été fait au printemps assaut de communication rue de Ménilmontant :-)
Au centre névralgique du bourg, on a pu voir attablés pour l’apéro des transfuges parisiens auteur(e)s de documentaires, écrivain, musicien, différents travailleurs au service du public du XXème arrt. S’y ajoutaient un photographe, ancien de la Miroiterie et un pro de la Cale Sèche :-). Le soir au Gripp, ne manquaient pas non plus des piliers de bar de la rue montante !
« LES GARS de Ménilmontant sont toujours remontants, même en redescendant les rues de Ménilmuche »
La célèbre chanson de Maurice Chevalier, datant de 1942, aurait pu se chanter jeudi à Groix.
ET LES FILLES NE LAISSAIENT PAS LEUR PLACE !