Le Festival et les contingences politiques.
mardi soirée d’ouverture ... on a bien senti les conséquences de la crise capitaliste : le nombre de chômeurs explose, (et un chômeur ne sort pas,) les "classes moyennes", comme ils disent, ont la bourse plate (of course, ils votent mal ! ils ne se laissent pas gagner par les discours sécuritaires et racistes des "nationaux" qu’ils soient sarkozystes ou FN et ont une éthique : ils ne sont pas actionnaires et ne profitent pas des défiscalisations dont se goinfrent les privilégiés qui, eux, bouffent à tous les râteliers... alors on peut leur faire payer taxes et impôts dont les autres sont dédouanés...)
Et alors, notre Festival ? Il trinque ! mais sans trop de verres... même si les bénévoles, consciencieusement, apportent leurs petits sous à l’édifice et ne renâclent pas devant l’augmentation du prix des consommations.
La soirée du mercredi, traditionnellement la plus faible en recettes, aurait pu pâtir de la conjoncture.
Eh bien non ! La programmation et la motivation de ceux qui veulent faire survivre cette belle aventure ont fait qu’on n’a pas encore touché cette fois le fond.
Croisons les doigts... Demain est un autre jour !