Stabat Mater – par Julien Chauvin
« La Discrète » (n° 84) et « La Capricieuse » (n° 86) mettent un terme à l’intégrale des « symphonies parisiennes » de Haydn par le Concert de la Loge. A la différence des volets précédents de la somme discographique amorcée en 2016, le complément de programme n’invite pas à redécouvrir des compositeurs oubliés mais à apprécier sous un jour nouveau le Stabat Mater de Haydn. Fondée sur l’édition parisienne de l’œuvre, la présente interprétation tranche avec de nombreuses habitudes.
P Gervasoni, Le Monde 05/03/21
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