La Ferme des Animaux
8 commentaires
Franc succès pour la première de la nouvelle pièce d’Ile teatro.
Le public a été conquis, tout d’abord par l’accueil décontracté mais super organisé des amis bénévoles, puis par le décor, enfin par les costumes.
Jacqueline de Chanrond est la créatrice de ces "habillages" dont je n’ai pas pris de photos pour vous en laisser la surprise.
La pièce elle-même confirme le talent d’adaptatrice de Monique Garrigues et celui, également connu depuis longtemps, du metteur en scène.
Les acteurs, déjà présents l’an dernier ou nouveaux intégrés à la troupe, ont su se mettre au service d’Orwell dont on constate encore la pertinence. Quelques répliques de Monique renvoient à notre malheureuse réalité, notamment sur l’absence de démocratie dans le monde politique.
Il vous reste la séance de ce soir et celle de demain pour aller y sourire ou rire ... jaune.
Vos commentaires
# Le 19 juillet 2012 à 16:36, par Anita
Les comédiens
par ordre d’arrivée en scène :
Alain Sellier : Sage le cochon, Monsieur Sam
Isabelle Le Brazidec : Calot l’oiseau
Jacqueline Bonnet : Rosette une cochonne
Mimi Pouzoulic : Tripette une cochonne
Caroline Sanguinette : Crépine une cochonne
Anne-Marie Mobé : Malabar le cheval
Eliane Copin : Douce la jument
Jean-Paul Chaillot : Bébert le bélier
Olivier Nouschi : Benjamin l’âne
et les enfants de la Compagnie du Page
Adaptation : Monique Garrigues
Mise en scène : Jean-Michel Le Dily
Décors :
Zef Le Dref, Bernard Martin, Jean-Paul Chaillot, Olivier Nouschi, Laurent Montassine et l’atelier Palette-Surprise
Costumes : Jacqueline de Chanrond et Evelyne Le Dref
Régie générale : Nicolas Joubaud avec l’aide de Philippe Guillaume
Montage son : Henri Ménard
Maquillage et coiffure : Corinne Marcon et Annie Quintin
Iconographie : Martine Netter
Captation vidéo : Sylvain Marmugi
# Le 20 juillet 2012 à 09:03
Salle comble !
Un vrai spectacle, à ne pas manquer !
Pour le décor
Pour les costumes
Pour les comédiens
Pour la mise en scène
Pour le fond, pour la forme
Merci à toute la troupe
JMD
# Le 20 juillet 2012 à 10:25, par Ølivier
...Les Soutiens (tant moraux que financiers) ;
...Les Groisillons qui aiment les spectacles en général et le théâtre en particulier ;
...Les vacanciers qui nous découvrent et découvrent la vie, culturelle ou pas, locale ;
...Les élus de notre communauté qui nous font l’honneur de venir voir le spectacle ;
...Le plaisir que nous prenons depuis deux soirs à JOUER ;
...La troupette qui, petit à petit, se mue en troupe ;
...Les fées & les enchanteurs qui bossent dans l’ombre pour nous mettre en lumière ;
A tous ceux-là et à tous les autres,
un immense MERCI
Benjà˜
# Le 21 juillet 2012 à 02:11, par Anita
Des candidats au spectacle n’ont pu être satisfaits : salle comble aussi ce soir, donc des refus de réservations.
Tous ces frustrés se retrouveront aux séances d’Octobre accompagnés par tous ceux que le bouche à oreille aura persuadé d’aller passer une excellente soirée.
Il ne reste qu’à espérer que les quelques élus présents reconnaÎtront que leur aumône de 400 € était déplacée face au travail fourni tout l’hiver, à l’engagement financier de l’association, à la satisfaction du public et au rayonnement que pourrait avoir ce spectacle sur le continent.
Tous les donateurs qui ont un peu comblé la carence officielle doivent être fiers de leur geste (...oui, oui, je le suis...faute de l’être de mes élus ! )
AM
# Le 22 juillet 2012 à 09:19
Après avoir assisté jeudi soir à le représentation, en compagnie de mon épouse, j’ai envie de mettre des gifles dans la tronche de ces" faiseurs bénis oui-oui et y a qu’à " qui passent leur temps à dire qu’il ne se passe rien sur l’Île. Quelle énergie ! Quelle synergie ! Quel enthousiasme ! Quelle motivation ! Le théâtre amateur est magnifique - un texte pourtant pas si facile à jouer et qu’il fallait oser attaquer- quand fait par des gens qui aiment il remplit son rôle de faire aimer, ce qui est le sens premier, profond, vrai du mot amateur, celui qui aime...
Lucien Gourong
# Le 22 juillet 2012 à 11:58
La Ferme des Animaux ;
Présent à la pièce de théâtre, jeudi soir, dans une salle comble, face à des amateurs de tout premier ordre, j’ai apprécié le talent de la troupe Il Teatro d’avoir su adapté le roman difficile à jouer, de G. Orwell. Je me suis mis à penser que la notion de l’exploitation de l’homme par l’homme est d’une actualité brulante, et que le combat contre les dictatures, les oppresseurs, la pensée unique, quelque soient leur forme, est revigorant. A Groix, il y a du talent et de la détermination à se battre contre la résignation.
Guénaêl Le Gras
# Le 22 juillet 2012 à 13:32, par Anita
Du lard et de l’art de cochon
Y du lard dans le danger
Y du danger dans l’art
Lard de camouflage
L’art d’enfumage
Lard de bon vivant
Art momifiant
Lard de sourire
L’art d’estourbir
Lard du trop parler
L’art de se faire écouter
Lard sur un crevard
L’art d’une folie à vouloir
Lard comme connard
L’art d’une patience de réservoir
Lard d’abri
L’art de sans abri
Lard de solitude
L’art de la connaitre, la solitude
Lard d’amitié accumulée
L’art de richesses sans thunes, immaculées
Lard des vendeurs
L’art de ce qui donne le bonheur
De lard en art
Reste un vaste foutoir.
De l’art au gras du bide
Ca ne rime à rien
Fallait finir par une rime
Qui ne rime que pour les cons
Fallait rire quand tu pleure
Et pleurer quand tu ries aux plaies
Se prendre au sérieux
Dans ce monde de cultureux
Sans culture ni pensée
Devenir la précieuse ridicule de glands ridicules et prétentieux ?
Rentrer dans le rang, c’est non.
Et quand ça veut pas, hein ? ça veut pas !
Carland
# Le 22 juillet 2012 à 13:38, par Anita
Drôle d’accueil ce matin à Eco. Une seule porte fonctionnelle. Une fois passée celle-ci un goulet formé par deux tables et un gamin qui me tend un carnet type tombola. Rien à gagner, juste le droit de payer pour disons " célébrer la mémoire d’Alain à travers les 40 bougies du bistrot "
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(transmis par un de mes informateurs persos)
Pauvre Alain.. il en remourrait et de honte cette fois, s’il savait !
AM