D. Palluel : Au début des années 1970, la consommation de masse était en plein boom et chacun voulait en profiter. Beaucoup de familles quittaient donc les îles. Ce déclin démographique s’est ralenti. Des îliens, qui étaient partis travailler ailleurs, reviennent. Il y a aussi une population nouvelle qui n’avait pas d’attaches dans les îles. Il faut continuer à se battre d’autant qu’on voit poindre le phénomène de plus en plus prononcé des résidences secondaires. Les élus et les habitants des îles sont désormais conscients qu’il ne faut pas se laisser piéger par le « tout tourisme » qui peut être dangereux à terme.
O. MÉLENNEC. Ouest-France 15/09/21
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