Encore une spécificité groisillonne ??
Le moins que l’on puisse dire est que les moyens OFFICIELS d’information sont plus que rares à Groix. Cela favorise la pratique très connue dans les milieux fermés : la diffusion de ragots.
Mais je me demande s’il n’y a qu’ici que les "victimes" ne font cesser ces fausses informations que le jour où elles découvrent une transcription écrite ?
Serait-ce que pour les "victimes" l’info ne devient gênante que lorsqu’elle apparaît noir sur blanc alors que les dégâts sont déjà constatés ? Et que seule cette présence matérielle les fait réagir ?
On dirait cependant que ces victimes considèrent les pages Facebook comme une conversation orale car là, pas de rétablissement de la vérité, ou très rarement, l’histoire de l’arbre de Kerlivio en est un bon exemple.
Si l’on ajoute la dégradation générale des capacités mnémoniques et la propension de certains à mentir effrontément, ce n’est pas demain qu’on érigera un monument groisillon à la Vérité !!