En Bref
Aujourd’hui : ALERTE ORANGE
Des consommations importantes d’électricité sont prévues en Bretagne. Pour la sécurité d’approvisionnement de la région et pour limiter les émissions de CO2 pensons à modérer nos consommations d’électricité ce soir entre 17h et 20h.
http://www.ouest-ecowatt.com/
Les commerçants reconnus sur les photos
« Cinquante personnes ont joué, explique la secrétaire de l’ACG. Innovation majeure de ces fêtes de fin d’année, l’acquisition et la mise en place de haut-parleurs diffusant des informations et de la musique. Ce nouvel équipement sera également utilisé en été.
Ouest-France O5/O1/2009
Marchés de fin d’année : « Un bilan contrasté »
Après celui de Noël, les producteurs de l’île ont organisé le marché de la Saint-Sylvestre. Le président explique que « les halles ont surtout été un lieu de passage. Pour l’alimentaire, je pense que nous serons 15 % en dessous du résultat de l’année dernière ».
Ouest-France O5/O1/2009
La Bretagne grelotte sous l’anticyclone
baisse des températures au cours de la nuit de samedi à dimanche, ainsi bien inférieures aux moyennes saisonnières. Météo-France a enregistré les températures minimales suivantes : - 2° sur les îles de Bréhat Belle-Ile et Groix.
Le Télégramme O5/O1/2009
FR3 Iroise, le 19h57 n’est plus !
Malgré de nombreuses discussions menées tant au niveau régional que national (toutes les Locales de la chaîne subissent le même sort), la direction de France 3 reste sourde aux arguments des défenseurs d’une télévision de proximité accessible aux heures de grande écoute.
Cette édition de 19h57 sera remplacée par un écran de publicité, juste avant 20h, heure après laquelle France Télévisions ne pourra plus diffuser de pub. La première diffusion du journal d’Iroise sera avancée à 18h38 au lieu de 18h48, horaire déjà trop avancé et qui ne correspond plus au rythme de vie des actifs.
http://bellaciao.org/fr/spip.php?ar...
Après la mortelle erreur d’une infirmière
.../... La complexité des traitements est de plus en plus grande ainsi que la dangerosité des produits utilisés. Les génériques qu’on nous impose viennent ajouter à la pagaille en inondant les hôpitaux de nouveaux produits, quasi identiques, dont les multiples noms de spécialités allongent à l’infini les listes de médicaments de substitution collées sur les armoires à pharmacies. Ce sont encore les infirmières qui doivent s’adapter en substituant aux prescriptions ces produits de remplacement dont les noms se ressemblent parfois beaucoup trop d’une classe à une autre et surtout d’une posologie à l’autre. (...)
• Anne Perraut Soliveres •
lire l’intégralité ici :
http://infirmiere.blogs.liberation....