En Bref
Le cercle celtique invite à entrer dans la ronde
Chanteurs et musiciens ont pris place au coin du feu pour embraser la salle. Vu l’engouement remporté par les festoù-noz, pic-noz et les cours estivaux d’initiation à la danse, le cercle n’a pas fini d’égayer nos soirées.
Ouest-France 19/11/2008
Les impôts départementaux augmenteront en 2009
Y.Borius : « Les compensations de l’Etat ne progressent plus que de 2 % contre 2,7 % par le passé, alors que nos dépenses augmentent, avec notamment le social (+6 %), les collèges (+4,5 %) ou encore les transports scolaires (+7 %).
Patrick CERTAIN. Ouest-France 19/11/2008
Conseil général. Faire le gros dos face à la crise
« Nombreuses sont ou seront les collectivités qui prendront la même décision que vous », a ajouté Y. Le Normand avant de regretter « l’effet cumulatif de ces hausses de fiscalité qui frapperont de plein fouet nos concitoyens ».
Yann Le Scornet Le Télégramme 19/11/2008
Ils ont dit...
H. Pellois « « À époque exceptionnelle, ne peut-on pas envisager, dans le domaine social, une politique exceptionnelle ? Nous ne pouvons pas faire comme si rien ne se passait. Pour nous, les choix doivent porter de façon prioritaire sur les actions de solidarité ».
Le Télégramme 19/11/2008
Parti socialiste : Nicolas Debéthune, l’autre visage du PS morbihannais
« Notre projet, c’est d’affirmer le retour de la puissance publique. .../... L’impôt est légitime et nécessaire. Ce n’est pas un frein au développement. » Nicolas Debéthune insiste également sur les questions économiques. « C’est le politique qui guide l’économie et pas le contraire. La crise montre que quand l’Etat veut, il peut. »
MGM 19 novembre 2008
PS. Jean-Yves Le Drian votera Ségolène Royal
après avoir rappelé « qu’il avait souhaité un rassemblement autour d’un projet clairement réformiste, clairement européen et clairement décentralisateur ». F. Cuillandre qui avait soutenu la motion de Delanoë, a, lui, annoncé qu’il votera blanc.
Le Télégramme 19/11/2008
François Cuillandre. « Le parti a perdu la boussole »
« Je dois avouer, écrit François Cuillandre, que je ne me reconnais plus dans le fonctionnement d’un parti, auquel j’ai adhéré il y a trente ans et qui a perdu la boussole. Le seul vainqueur de Reims, c’est Nicolas Sarkozy ».
Le Télégramme 19/11/2008