En Bref
Dragage. Les plaisanciers font entendre leur voix
Trois associations de plaisanciers se sont exprimées sur « l’urgence » de draguer les ports de Loctudy et Lesconil. L’enjeu est économique. Conscients que le clapage n’est pas la meilleure solution, Ils l’assurent, « ce sera la dernière (fois), après il faudra réfléchir à d’autres solutions ».
S. Guihéneuf Le Télégramme 15/05/2011
DSK inculpé « d’agression sexuelle » à New York
Le directeur du FMI, qui a été arrêté samedi soir après la plainte d’une femme de chambre d’un hôtel de Manhattan, devrait être présenté dans la journée à un juge. Selon un de ses avocats, il plaidera « non-coupable ».
lefigaro.fr 15/05/2011
DSK pourrait être tombé dans un piège
D. Paillé, ancien porte-parole de l’UMP, sur BFM TV : "Il est tout à fait envisageable qu’il puisse être tombé sur une peau de banane qu’on lui aurait mise sous la chaussure. S’il est tombé sur cette peau de banane c’est qu’on savait qu’il avait une vulnérabilité. Et quand on s’apprête à être candidat à la candidature à la présidence de la République française, on se met à l’abri de telles vulnérabilités".
Le Point.fr - 15/05/11
Affaire DSK : "pas candidat à la primaire"
J. Attali a évoqué la possibilité d’une "manipulation" dont aurait été victime le patron du FMI qui était descendu dans un hôtel de la chaîne française Sofitel. "DSK plaide non coupable et il peut parfaitement l’être" (...) "Mais, il ne pourra pas être candidat à la primaire, ni même au FMI qui va lever son immunité", a poursuivi J. Attali. "Le président actuel est loin d’être vaincu", a-t-il ajouté.
BFMTV, 15/05/11
L’homme qui a diffusé en premier l’information.
Il apparaîtrait que le premier à avoir parlé de l’arrestation de DSK soit Jonathan Pinet sur Twitter, avant même le New York Post. L’étudiant à Sciences Po est membre des Jeunes UMP.
Libération 15/05/2011
Herboristeries : l’Europe s’en prend aux remèdes de mamie
Une directive européenne soumet désormais les produits à base de plantes à une AMM, comme les médicaments conventionnels. La procédure, qui coûte de l’ordre de 60 000 euros par produit, pénalise les petits entreprises. Les laboratoires pharmaceutiques sont soupçonnés de vouloir se refaire une santé après les nombreux scandales médicaux auxquels ils ont été confrontés.
A. Chaillou www.rue89.com 14/05/11