En Bref
120 nageurs pour la bonne cause
Chaque participant est accompagné d’un kayakiste dont le rôle est essentiel : il est les yeux du nageur et il assure le ravitaillement. Au fil des ans, cette épreuve est devenue un must. Les sportifs viennent de Paris ou encore de Marseille pour l’occasion.
Le Télégramme 06/06/10
Paul Bloas. « Je cherche des lieux atypiques comme ici »
L’artiste est connu pour ses personnages géants collés sur des murs, des façades de bâtiments. "À Groix nous allons peut-être travailler sur une expo immergée de mes photos. Elles apparaîtront et disparaîtront au gré de la marée."
Laurent Marc Le Télégramme 06/06/10
Martin Hirsch propose de s’attaquer aux hautes rémunérations
« La question des hautes rémunérations est un problème extraordinairement important », les riches étant « plus que les pauvres responsables des déficits sociaux », a-t-il souligné. « Définir un équilibre et ensuite savoir si on l’applique par la loi, le contrat, par l’impôt... »
Le Télégramme 03/06/10
Suppression des jurés populaires aux assises ?
Cette réforme "hautement symbolique" permettrait à des tribunaux criminels composés uniquement de professionnels de siéger en permanence en première instance. Cela aurait pour effet de désengorger les cours d’assises et de réduire les délais d’audiencement.
Laure Bretton, http://www.lemonde.fr/ 06.06.10
La dernière « garden party » de l’Elysée a coûté 732.826 euros
« Chaque année, le nombre d’invités augmente : 5500 en 2007, 7050 en 2008 et 7500 en 2009 », ajoute R. Dosière. La Cour des comptes avait déjà épinglé l’Elysée sur sa Garden Party. En 2008, plus de 290 000 euros ont été réglés à une entreprise alors que son concurrent avait fait une offre à 187 000 euros.
Libération 04/06/10
Follement cartésiens
.../...Regardez la taxe carbone, la loi Hadopi, la suppression de la pub sur France Télévisions avant 20 h. Quelle souplesse, quelle adaptation au terrain ! Il me semble toutefois que nos décideurs maintiennent le cap sur deux points. D’abord, les algues vertes continuent de proliférer. Ensuite, nos impôts, qu’il n’est pas question d’augmenter, sont en augmentation. Car, en France, Descartes, sur certaines affaires, a quand même le dernier mot.
Courant d’ère. Hervé Hamon Le Télégramme 06/06/10