Oscar Wilde a écrit : "La fatalité veut que l’on prenne toujours les bonnes résolutions trop tard."

Le maire, fier de son "réalisme", s’opposant au soit-disant extrémisme de ceux qui refusent le clapage des boues de la BSM, se contente de
demander un "complément d’enquête".
D. Yvon, pour l’opposition, a repris les arguments qu’il avait entendus lors des réunions d’Océan Propre, regroupant des assos de pêcheurs-plaisanciers du continent ainsi que l’AUMIG.
Le maire a contesté certains de ces arguments : leur auteur, un scientifique pourtant reconnu par ses pairs, serait moins scientifique que lui.
En conséquence de quoi, notre scientifique local se borne donc à demander de nouveaux prélèvements et analyses et un respect formel de la procédure de l’enquête publique.
D. Yvon a eu beau jeu de faire remarquer que celui qui paye une analyse obtient toujours les résultats qu’il veut entendre. (On l’a fort bien vu lors de la mise à terre des boues de DCNS : les normes ont été modifiées par arrêté ministériel).
Quand on se rappelle l’allergie violente du président de Cap L’orient à une question anodine sur ce qu’il comptait faire pour protéger sa "cerise" (Groix pour Cap Lo d’après lui), on se doute bien que ces bouseux de Greks n’ont aucune chance de faire avancer le schmilblic avec des arguments certes issus de leur bon sens mais qui ne tiennent pas compte des intérêts pseudo-économiques des amateurs de la Volvo Race.

Et pourquoi n’iraient-ils pas se pavaner à Kergroise ces monstres-là ? Le tirant d’eau y est suffisant sans avoir à dépenser + de 3 Millions d’euros pour leur faire un nid douillet !