Il caresse dans le sens du poil les forces de l’ordre, ces « fils et filles du peuple », « ouvriers de la sécurité » au « travail difficile ». Il nie toutes violences policières, minimisant, du bout des lèvres, des « actes individuels ». Un député Modem : « Les forces de l’ordre ne sont pas très heureuses de la réforme des retraites, il ne peut pas se permettre qu’elles nous lâchent ».
JB Daoulas et . Equy Libération 5/04/23
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