Le Gripp, ce n’est pas pratique
Les bénévoles se réjouissent, à mi-parcours, du déroulement de cette vingtième édition. Mais, Xavier Gaillon : « Lorsque le festival est à Port Lay, tout est à côté. Il y a les bureaux, une salle de projection, la connexion internet… Au Fort du Gripp, il faut faire des allers-retours sans arrêt et chaque soir, le site, limité à 500 personnes, affiche complet ».
le Télégramme 20/08/21