Une revendication éloignée de la grande Bretagne

Au temps de Nominoë, elle s’étendait à l’ouest de la ligne Pontorson-Saint-Nazaire ; la Paix d’Angers (851) y intègre Nantes, Rennes et le pays de Retz, le traité d’Entrammes (863) y ajoute Angers et l’entre Sarthe et Mayenne. Et le Traité de Compiègne (867) lui apporte le Cotentin et les îles Lenur.
A. Le Bloas Le Télégramme 03/06/14

Mais qui a donc coupé la Bretagne en deux ?
Plus que Pétain, c’est S. Antoine et un simple arrêté ministériel de 1956. Mais cette carte était évolutive. Pour mener à bien l’évaluation territoriale de la politique économique de l’État, il avait choisi d’implanter des cellules dans les préfectures dotées d’un effectif suffisant pour procéder aux inspections.
A. Le Bloas Le Télégramme 03/06/14

Réforme en Bretagne. La fracture socialiste
Deux visions de l’avenir respectables, et dont on veut croire qu’elles n’ont été que les seules motivations. Reste maintenant à savoir comment un PS breton si divisé va pouvoir se retrouver pour passer à l’étape suivante, celle de la création d’une assemblée de Bretagne.
Le Télégramme 04/06/14

Bretagne à cinq. Branle-bas de combat
P. Massiot reste confiant dans l’avenir d’une Bretagne réunifiée et compte ouvrir le bal des innovations institutionnelles en accélérant le processus d’« assemblée unique de Bretagne » sans attendre le dépérissement des départements dont le processus ne s’achèverait que dans six ans.
A. Le Bloas Le Télégramme 04/06/14