Arts, culture & spectacles

Le mouvement est lancé pour l’association qui permettra au dernier thonier à voile de retrouver son élément ; le Grand Large et les coureaux de Groix.
Avec environ deux cent adhésions, un logo original, la mise en place d’un stand sur la place du marché les samedi et dimanche matin, le travail d’Ange Yvon à Lorient, l’association des Amis du Biche commence à prendre de l’erre. Certaines adhésions sont particulièrement réjouissantes (presque toute la famille Chauffetaux, constructeur du (…)

Ce soir, à 21 h à la salle des fêtes, « Histoire d’amour » : premier spectacle des « Adieux » du conteur groisillon.
Demain, soirée cabaret à guichet fermé et jeudi à 11 h : « Les aventures du capitaine Morvan ».

« Reine du Calme, entends la prière de tes enfants au péril des flots. Et de tout mal, Ô puissante Mère, garde ton peuple et ses matelots... ».
Dimanche midi, des centaines de fidèles réunis dans et autour de la chapelle ont entonné le chant final du pardon de « Notre-Dame-du-Calme ». A l’occasion de cette fête religieuse, le recteur Ambroise Guillo, le vicaire général Michel Jeanroy et l’abbé Pierre Guillemot ont béni les nouveaux vitraux de la chapelle.
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© Le Télégramme 19/08/2003

Valérie joue de la flûte (elle accompagnait Alan Stivell), Bob, d’origine irlandaise, est accordéoniste, tous deux ont rejoint Annaïg (violon), Jacques (accordéon) et André (guitare) il y a quelques jours pour répéter en vue du fest-noz de jeudi soir.
Un nouveau groupe groisillon est né : « C’est une première pour nous cinq et ça a super bien marché ». Les hanter dro, scottish, ronds de Noirmoutier, gavottes des montagnes, valses irlandaises... se sont succédé pour le bonheur des 200 (…)

« Amiral Mecquet », « Rosalie Marchais », « Grussenheim Alsace », « Dubarre
et Corvic », « Jean-Marie Camenen »... depuis 1865 les canots se succèdent à
Port Tudy armés par des marins courageux qui ont effectué des sauvetages
mémorables.
150 ans d’histoire. En écrivant l’ouvrage : « Groix, l’île des sauveteurs », Laurence et Guy Tonnerre retracent 150 ans de la vie cette station insulaire et notamment la vie animée de Pierre Tonnerre, le papa de Guy, qui a été, durant 27 ans, membre de (…)

Aujourd’hui, on ne chante plus sur les bateaux. Mais à terre, des dizaines de groupes reprennent les airs qui rythmaient les manoeuvres à bord des grands voiliers d’autrefois. Parmi eux, les Souillés de fond de cale. Six gaillards qui font revivre le passé mais qui chantent aussi les marées noires et les cargos-poubelles.
« Quand les hom-mes chantent bien, le navire va bien. » A l’époque de la marine à voile, l’adage courait sur les ponts des clippers, sloops et autres goélettes. Puis, (…)

Après une dizaine de jours de festivités, la ville est comme engourdie
Lorient est endormie ! Dix jours de festivités, des milliers de litres de
bière, et des spectacles à profusion semblent être venus à bout des
festivaliers. Place au ballet des engins élévateurs, des semi remorques et
des mécanos.
Les rues jonchées de détritus ont été nettoyées au cours de la nuit. Seules
subsistent quelques effluves bien connus des Lorientais en période de
Festival. Le marathon annuel du Fil rend (…)

L’association Saint-Gunthiern présente une exposition sur les fontaines et
lavoirs de l’île de Groix et de l’Alsace, en collaboration avec l’écomusée
et les amis de Grüssenheim.
L’exposition est ouverte au presbytère de 10 h à
12 h 30 et de 15 h à 18 h ; l’accès est gratuit. L’association
Saint-Gunthiern entretient et embellit, au cours de l’année, les lavoirs et
fontaines de l’île ; elle édite également des cartes postales réalisées par
des aquarellistes.
© Le Télégramme 12/08/2003

L’édition 2003 du Festival interceltique s’est refermée sur bilan largement
positif. Un bon millésime, servi chaud mais très apprécié des festivaliers
si l’on en juge par la fréquentation.
« Il n’a pas plu, mais c’était presque
pire à certains moments, » admet Jean-Pierre Pichard, le directeur général
du festival. Finalement, la canicule écrasante n’aura pas découragé les
spectateurs. Au contraire, le soir venu, elle attirait une foule énorme dans
les rues de Lorient.
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Fille de marin, femme de marin... Marie-Josée Annerose vit sur le front de mer de Locmaria, un milieu qui inspire sa peinture.
« Je dédie cette première exposition à mon père, Joseph, qui m’a transmis sa passion pour la peinture. » Membre de l’association Chal d’Hennebont, Majo a d’abord peint sur la soie, la porcelaine, le bois.
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© Le Télégramme 04/08/2003