Pêche

Le chalutier danois a été dérouté vers le port de Lorient qui est en train de devenir le port de référence en matière de lutte contre les techniques illégales de pêche.
Le Télégramme 08/02/2005

L’Espagne est, cette fois, du côté français. C’est un allié de taille, vu son poids dans la pêche européenne. Mais il faudra aussi compter avec la puissance de certaines organisations écologistes, qui prônent l’arrêt total
de ces pêcheries.
Charles JOSSE. Ouest-France 04/10/2006

Les Groisillons qui ont déjà fait d’amples provisions durant l’été étaient moins nombreux que lors des escales du mois d’août. Michel facilitait l’escale de ses confrères de Port Joinville qui devaient reprendre la mer, rapidement, pour rentrer à la pleine mer du soir.
Le Télégramme 17/10/2005

A. Le Sann : « Il ne faut pas fantasmer sur l’idée que la pêche est totalement interdite dans les aires marines protégées. Il y a six niveaux, allant de l’interdiction totale jusqu’à la pêche autorisée. Les pêcheurs,
doivent à tout prix prendre conscience de l’enjeu de la mise en place de ces aires Le Télégramme 27/11/2006 « Les pêcheurs doivent prendre la parole » A. Le Sann « Comment la pêche industrielle et artisanale lorientaise peut se positionner face à ces questions ? La situation (…)

La langoustine : + 7 %. Le merlu : + 20 %. La sole : + 12 %. La lotte : + 6 %. Dans la nuit de mercredi à jeudi, les ministres européens ont tranché et, au final, se sont montrés plutôt gentils à l’égard des pêcheurs lorientais.
Le Télégramme 23/12/2006

Situation du dinophysis dans les eaux côtières du Morbihan : les résultats font ressortir une amélioration en matière de dinophysis. Les secteurs de la côte de Pénestin- Pont Mahé et les Coureaux de Groix sont ouverts.
Le Télégramme 05/08/2005

Trois chalutiers, Léa-Marie et deux semi-industriels de la Scapêche, Mariette Le Roch (37,70 m) et Simon-Keghian II (34,50 m), Les armateurs s’engagent à détruire leur bateau dans les trois mois, en contrepartie de la prime versée par l’État et l’Europe.
Ouest-France 05/03/2008

De nombreux témoignages de marins, de scientifiques, d’élus... ont émaillé
le débat autour du film d’Emmanuel Audrain.
« Actuellement dans les Courreaux de Groix, deux bateaux de 25 m mouillent
des palangres avec 6.000 hameçons ; en une journée, ils pêchent autant que
tous les petits artisans de la côte ».
(...)

La pêche, le ramassage, l’expédition et la mise à la consommation humaine des coquillages (sauf les huîtres) provenant de la Petite Mer de Gâvres sont donc interdits, tout comme ceux des Courreaux de Groix, de la baie d’Etel et de la baie de Vilaine.
Le Télégramme

Cela fait douze semaines que la quarantaine d’entreprises de conchyliculture de la rivière d’Etel et de Groix n’ont plus le droit de vendre leurs coquillages. Cette longue période d’inactivité provoque un manque à gagner considérable pour ces professionnels.
Benjamin KELTZ. Ouest France 26/08/2006