Proposition de supprimer le Cese.
4 commentairesA l’extrême droite, il y a une forme de cohérence politique : rien entre les élus et le peuple. Il y a une négation historique de l’intérêt des corps intermédiaires. Supprimer le Cese, ce n’est pas supprimer une bureaucratie. C’est dire aux organisations de la société civile : “Ne vous mêlez pas de politique, de politiques publiques, occupez-vous chacun de vos seules affaires.” C’est totalement anachronique et ça contribue à fragiliser davantage notre régime démocratique. Il faut faire de la place pour la démocratie sociale, participative. La contribution de ceux qui agissent auprès de ceux qui décident
Victor Boiteau Libération 12/07/25
Vos commentaires
# Le 15 juillet à 12:33, par Claude Huchet
Bonjour,
La France ne compte plus que 18 regions mais toujours 23 CESER
Les Conseils économiques et sociaux Régionaux qui regroupent environ 2000 personnes désignées et non élues.
Le CESE est l’arbre qui cache la forêt des CESER.
C’est l’école de la deuxième chance pour ceux qui ont été éliminés par la porte des urnes et qui reviennent par la fenêtre de la "designation"
Ayant vécu la pantomime des "désignations" au sein de mon syndicat, je rigole doucement.
Aucun représentant du monde maritime de mon syndicat au sein du CESER de Bretagne, en revanche on me demande un coup de main pour rédiger un rapport sur les formations maritimes. Refus de ma part évidement (faut pas me prendre pour un âne)
Rapport qui aura finalement été rédigé par un salarié du CESER et non par "l’élue / désignée par mon syndicat" qui, bien évidement n’y connaissait rien et ne fait qu’y améliorer sa retraite en recompense par la "structure" de ses années de "militantisme"
La structure vit bien mais elle me fatigue ! pour ne pas dire pire .
# Le 16 juillet à 08:35, par Vincent
Et honte au CESER Occitanie, inutile pour contrer l’inutile A69.
# Le 20 juillet à 13:47, par peric
Yé ! le député (les républicains) olivier Marleix qui se reclamait du gaulisme s’est suicidé, cela a une certaine cohérence...il n’y a pas que le CESE qui discute du sexe des anges !...mais en tant qu’ex cédétiste vintage celle de "vivre et travailler au pays" et de "pas de socialisme sans autogestion " comment peut on être militant CFDT aujourd’hui ??... une CFDT qui accompagne le "marché libre et non faussé Bruxellois, le "ruissellement" , la mondialisation heureuse....depuis la fin des années 80 , quel gachis !!.. oh ! tari petrew peric
# Le 20 juillet à 14:42, par Anita
CFDT vintage, on est donc au moins deux (adhérente de la bonne année autogestionnaire, 68), passée chez les "moutons noirs" de l’opposition en 74/75 (à cause d’Ed Maire) et restée contre vents et marée (très forte - mouvements infirmières - entre 88 et 92, où on a démissionné avec les 220 adhérents de la section). Mais être dans l’opposition ouverte face à Notat en congrès national, ça tanne le cuir !!