Pourquoi rien ne change ?
Publié le 6 avril 2021 à 11:05.../... La force des résistances, des lobbies et la défense des intérêts économiques court-termistes vont croissant, mais avec une efficacité d’autant plus décuplée que l’on va dans le mur. En 1976, on ne parlait pas d’écologie « punitive » ou de « Khmers verts ». Non on votait à l’unanimité la loi du 16 juillet 1976 relative à la protection de la nature. Près de 50 ans plus tard, le plus grand nombre d’amendements déposés vise… à affadir le projet de loi Climat et résilience, pourtant déjà bien falot.../...
Commentaires :
6 avril 2021, 14:23, par vincent
Sarko l’avait déjà remarquablement dit : "l’écologie ça commence à bien faire".
Je suis quand même un chouïa étonné du peu de zèle des politiques à tenter de récupérer la vague verte des municipales… en faisant au moins mine de s’intéresser un peu… ou alors le «  greenwashing » est passé de mode ?
«  des intérêts économiques court-termistes »Â ; effectivement, il semble impensable de déconnecter la sauvegarde de l’écologie de la fin du système qui l’assassine. Avec le capitalisme mondialisé et sa course aux résultats immédiats, il faut s’enrichir, beaucoup, très vite, avant que la planète ne présente sa facture et que le système s’enraye…
«  le projet de loi Climat et résilience, pourtant déjà bien falot »Â ; bon, là , rares sont les gens normalement constitués à ne pas avoir vu que la «  Convention Climat » était encore un plan com’ de Macron.
Si, si, la Convention Climat... les 150 benêts, euh... citoyens, qui ont cru – parce que ça leur avait été dit ! – qu’on allait reprendre leurs propositions écologiques «  sans filtre ».
Mince alors... ils n’étaient pas nés en 2019, pour le Grand Débat National ?