Promenade dominicale

Commentaires

• 1. Promenade dominicale, 29 septembre 2006, 14:37

  courage Brittia

  annie

• 2. Promenade dominicale, 29 septembre 2006, 19:48

  et bon article Anita :)

  Fañch

• 3. Promenade dominicale, 29 septembre 2006, 21:51

  Au bélier par le travers

  J’adresse cet avertissement

  A celui-ci comme à son troupeau

  A celle-cit comme à ses agneaux

  Je ne suis pas berger, et ne supporte cerbère

  Si comme unique lieu en partage éphémère

  Je ne trouve mots qui m’explique comment faire

  Mon bout sur tes cornes je vais enlever

  Mara bout de crin de cheval, j’en ai la plume froissé

  Canidé de service en gardien timide

  Jamais je n’ai vu chien aussi stupide

  Foudebassan

• 4. Promenade dominicale, 30 septembre 2006, 14:18

  bonne continuation à vous et bon courage pour la suite Brittia
  Florence

• 5. Promenade dominicale, 2 octobre 2006, 15:37

  Explication de texte à l’intention des mal-comprenants s’ils prennent le temps de lire eux-mêmes .... (en supposant qu’ils connaissent mieux le sens des mots que l’orthographe...)

  """ On va essayer de trouver l’endroit où, d’après ce qui se dit, un tracteur ouvrant des chemins de chasseurs aurait écrasé des clôtures bien cachées dans les taillis.
  Heureusement Brittia arrive à notre secours pour nous indiquer le lieu du délit, lieu bien dégagé, visible même du haut d’un tracteur.
  Elle n’a par contre aucune idée de ce qui a bien pu se passer pour aboutir au fait qu’elle a encore dû réinstaller une clôture.
  Prudente Brittia qui garde maintenant son opinion pour elle.... """

  Il est clairement indiqué dans ce texte que "ce qui se dit" est faux puisque Brittia nous a montré la clôture remplaçant celle qui a été détruite, et dont la photo démontre qu’elle n’est pas située dans les broussailles.
  Il est clairement écrit également qu’elle ne dit rien sur l’auteur ou les auteurs supposés de cette dégradation.

  On devrait envisager de créér le prix du Gloubi-boulga à décerner aux plus mauvais élèves de la classe d’analyse de texte....

  AM

  • 1. Promenade dominicale, 2 octobre 2006, 18:03

    Bonjour,

    Quelques précisions, afin d’éviter tout malentendu qui se traduirait pas des représailles (notamment sur du matériel) :

    1/ la clotures électrique des chevaux a effectivement disparu en totalité le jour où les chemins de chasse ont été ouverts. MAIS : n’ayant pas vu ce qui s’est passé, je n’ai accusé PERSONNE (et en particulier pas la société de chasse) ;

    2/ des chemins ont effectivement été ouverts par la société de chasse dans les haies épaisses qui faisaient office de clôture naturelles pour mes animaux : ils aboutissent directement DANS les parcs où sont stationnés les animaux (4 chemins chez les alpagas, 1 chez les chevaux) ;

    3/ contactée directement par mes soins, la société de chasse s’est déplacée en fin de journée pour poser du petit grillage sur 4 des chemins (chez les alpagas), le 5ème (chez les chevaux) ayant été refermé par moi ;

    4/ les animaux étaient visibles, puisque présents sur les terrains ;

    5/ Pour mettre un terme à la polémique, la gendarmerie (venue pour la disparition de la clôture électrique et une vitre brisée sur ma voiture pendant que je ramassais les chevaux, ET PAS pour les chemins de chasse) entend juger par elle-même de la qualité de ces clôtures ;

    6/ je n’ai fait aucune publicité sur cet incident, mais les nouvelles vont vite à Groix, si bien que le différent avec la société de chasse a rapidement circulé de bouche à oreille ;

    7/ Croisant AM dimanche alors que je soignais les animaux, je lui ai proposé de venir voir les alpagas (qu’elle n’avait pas encore vus) et, chemin faisant, nous avons discuté de l’incident ;

    8/ comme elle l’écrit, je n’ai encore une fois accusé personne pour la dégradation de la clôture des chevaux ;

    9/ par contre, je ne pouvais nier, même si des efforts ont été fait pour les refermer, que des chemins ont bien été ouverts au tracteur jusque dans les parcs où résident les bêtes...

    10/ le jour de l’incident, la présidente de la société de chasse s’était engagée a demander, lors de la réunion d’ouverture de la saison, à ce que les chasseurs évitent les parcs des animaux, ce qui semble respecté et je les en remercie.

    Voilà pour les faits, en espérant calmer enfin les esprits. Je n’ai rien contre les chasseurs (ni contre quiconque), du moment que la quiétude des animaux et l’intégrité du matériel sont respectés.

    Bien cordialement,

    BG

  • 2. Promenade dominicale, 2 octobre 2006, 18:09

    Les fils sont de couleur, pas trés épais. C’était un daltonien, un mal voyant.
    Courage ! Bonne continuation Brittia.
    A. Y.

  • 3. Promenade dominicale, 2 octobre 2006, 19:17

    Conseils aux alpagas :

    Un état se gouverne par des lois strictes.

    La guerre se gagne par la ruse.

    Mais l’univers se gagne

    Par le non-agir.

    Je sais cela d’observation.

    Plus il y a d’interdictions, plus le peuple est pauvre

    Plus il y a d’armes, plus le pays est troublé.

    Le peuple a-t-il recours à l’habileté

    Et d’étranges nouveautés apparaissent.

    Plus croissent les lois et les règlements

    Et plus augmentera le nombre des voleurs et des brigands.

    Ainsi le sage dit :

    Je ne fais rien et le peuple se transforme de lui-même

    Je reste calme et le peuple se rectifie de lui-même

    Je suis libre de désir

    Et le peuple atteint de lui-même la simplicité.

    Tao te King (Lao Tseu)

  • 4. Promenade dominicale, 3 octobre 2006, 15:58

    À un homme partant pour la chasse

    Oui, l’homme est responsable et rendra compte un jour.
    Sur cette terre où l’ombre et l’aurore ont leur tour,
    Sois l’intendant de Dieu, mais l’intendant honnête.
    Tremble de tout abus de pouvoir sur la bête.
    Te figures-tu donc être un tel but final
    Que tu puisses sans peur devenir infernal,
    Vorace, sensuel, voluptueux, féroce,
    Échiner le baudet, exténuer la rosse,
    En lui crevant les yeux engraisser l’ortolan,
    Et massacrer les bois trois ou quatre fois l’an ?
    Ce gai chasseur, armant son fusil ou son piège,
    Confine à l’assassin et touche au sacrilège.
    Penser, voilà ton but ; vivre, voilà ton droit.
    Tuer pour jouir, non. Crois-tu donc que ce soit
    Pour donner meilleur goût à la caille rôtie
    Que le soleil ajoute une aigrette à l’ortie,
    Peint la mûre, ou rougit la graine du sorbier ?

    Dieu qui fait les oiseaux ne fait pas le gibier.

    Victor Hugo