Une table tout près, une lampe très loin
Qui dans l’air irrité ne peuvent se rejoindre,
Et jusqu’à l’horizon une plage déserte,
Un homme à la mer lève un bras, crie : ”Au secours !"
Et l’écho lui répond : ” Q’entendez-vous par là ? “
JULES SUPERVIELLE (LE MIROIR INTERIEUR)
Commentaires :
1. lundi 30 mars 2009 à 01:01
Par loin ou pas tres
Les noster y étaient
A l’imbibe des prônent
Aux pavis des trones
Des sentences des droles
Des celui ou celles
Qui sans crècerelles
Ont été aux drame
D’un drôle de choix
Ou d’un drôle de chrame
Foudebassans
2. lundi 30 mars 2009 à 13:59
Aux pavis des trones
Hésitation entre "pavé" et "parvis" dans l’improse... Lire : Aux parvis des trônes... allusion à la charité qui ne se fait qu’au sortir des églises ou les pontifes trônent et prônes l’amour du prochain.... voila
Fou...
3. lundi 30 mars 2009 à 17:44
Ton explication de texte va ravir certains de tes lecteurs quelquefois décontenancés par ce qu’ils appellent "tes poèmes hermétiques"
AM
4. mardi 31 mars 2009 à 04:42, par Renée
Un édito qu’on se prend en pleine gueule. Et on étouffe des mots qui ne veulent pas sortir. Là entre autres qu’on aimerait avoir ne serait-ce qu’un fragment de la plume de Fou.
5. mardi 31 mars 2009 à 21:42
Fragment...
Je veux bien m’en arracher pour la donne, mais pas trop sinon, je pique en vrille.
Fou...
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