"Anita, de Groix"

"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire"

Résurrection

Publié le 22 février 2018 à 10:32

Une bonne âme a remplacé la "boîte à livres" incendiée par un analphabète mal élevé.

Espérons que la plainte en cours aboutira, que l’incendiaire soit sanctionné et ses parents (s’il y a) condamnés à indemniser la municipalité.
En attendant, merci à Georges "du Hangar" pour sa réactivité, sa générosité et ... son talent :-)

(Merci à Stef pour les photos.)

Commentaires :

  • Une porte de la boÎte à livres de Locmaria a été arrachée !

  • Peut être des "lettrés" qui ont mal interprété Bradbury plus dans la finesse que ces philistins .

  • Ah, love, let us be true

    To one another ! for the world, which seems

    To lie before us like a land of dreams,

    So various, so beautiful, so new,

    Hath really neither joy, nor love, nor light,

    Nor certitude, nor peace, nor help for pain ;

    And we are here as on a darkling plain

    Swept with confused alarms of struggle and flight,

    Where ignorant armies clash by night.

    (Poeme dover beach de Matthew Arnold dans Fahrenheit 451)

  • oups oublié de signer : Fana

  • Dem Vater grauset’s, er reitet geschwind,
    Er hà¤lt in Armen das à¤chzende Kind,
    Erreicht den Hof mit Mühe und Not,
    In seinen Armen das Kind war tot.

  • Seul le Kraken, le Cachalot ou quelques sous-marin nucléaires connaissent les abÎmes.
    Il faut savoir nager entre , et remonter les courants..
    Plutôt qu’une bouteille je jetterais un livre à la mer.. pour ceux qui ont tenté de la traverser

    FOU..

  • Merci S pour ta pertinence et .... tes dons poétiques (entre autres)
    Bien que je suppose que tes commentaires soient tout aussi incompréhensibles pour beaucoup que l’anglais de mon amie Fana ou l’allemand de mon cousin...
    AM

  • alors traduction du dernier couplet du poème "Dover Beach" de matthew Arnold cité dans Fahrenheit 451 :

    O, mon amour, soyons fidèles l’un à l’autre

    car dans le monde qui semble devant nous être un pays de rêves,

    Si varié, si nouveau, et si beau,

    Ne sont en vérité ni joie, ni amour, ni lumière,

    Ni certitude, ni paix, ni consolation

    Nous sommes là sur une plaine obscure

    Traversée de confuses rumeurs de combats et de fuites

    Où se heurtent dans la nuit des armées qui s’ignorent.

  • Pour re-venir à soi il faut passer par l’autre, le livre est un média.
    La poésie ne sert à rien, c’est juste essentiel.

    FOU..

  • Roi des Aulnes, dernière strophe

    "Il arrive à sa maison avec peine, avec angoisse :
    L’enfant dans ses bras était mort."

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