Résurrection
Publié le 22 février 2018 à 10:32Une bonne âme a remplacé la "boîte à livres" incendiée par un analphabète mal élevé.
Espérons que la plainte en cours aboutira, que l’incendiaire soit sanctionné et ses parents (s’il y a) condamnés à indemniser la municipalité.
En attendant, merci à Georges "du Hangar" pour sa réactivité, sa générosité et ... son talent :-)
(Merci à Stef pour les photos.)
Commentaires :
22 février 2018, 11:13, par Marie Berthelot
Bravo et merci Georges
22 février 2018, 12:18
Une porte de la boÎte à livres de Locmaria a été arrachée !
22 février 2018, 13:20, par gabriel
Peut être des "lettrés" qui ont mal interprété Bradbury plus dans la finesse que ces philistins .
24 février 2018, 10:07
Ah, love, let us be true
To one another ! for the world, which seems
To lie before us like a land of dreams,
So various, so beautiful, so new,
Hath really neither joy, nor love, nor light,
Nor certitude, nor peace, nor help for pain ;
And we are here as on a darkling plain
Swept with confused alarms of struggle and flight,
Where ignorant armies clash by night.
(Poeme dover beach de Matthew Arnold dans Fahrenheit 451)
24 février 2018, 10:08
oups oublié de signer : Fana
24 février 2018, 18:34, par Torcheur
Dem Vater grauset’s, er reitet geschwind,
Er hà¤lt in Armen das à¤chzende Kind,
Erreicht den Hof mit Mühe und Not,
In seinen Armen das Kind war tot.
24 février 2018, 21:08
Seul le Kraken, le Cachalot ou quelques sous-marin nucléaires connaissent les abÎmes.
Il faut savoir nager entre , et remonter les courants..
Plutôt qu’une bouteille je jetterais un livre à la mer.. pour ceux qui ont tenté de la traverser
FOU..
25 février 2018, 02:33
Merci S pour ta pertinence et .... tes dons poétiques (entre autres)
Bien que je suppose que tes commentaires soient tout aussi incompréhensibles pour beaucoup que l’anglais de mon amie Fana ou l’allemand de mon cousin...
AM
25 février 2018, 15:38
alors traduction du dernier couplet du poème "Dover Beach" de matthew Arnold cité dans Fahrenheit 451 :
O, mon amour, soyons fidèles l’un à l’autre
car dans le monde qui semble devant nous être un pays de rêves,
Si varié, si nouveau, et si beau,
Ne sont en vérité ni joie, ni amour, ni lumière,
Ni certitude, ni paix, ni consolation
Nous sommes là sur une plaine obscure
Traversée de confuses rumeurs de combats et de fuites
Où se heurtent dans la nuit des armées qui s’ignorent.
25 février 2018, 15:51
Pour re-venir à soi il faut passer par l’autre, le livre est un média.
La poésie ne sert à rien, c’est juste essentiel.
FOU..
25 février 2018, 17:27, par Torcheur
Roi des Aulnes, dernière strophe
"Il arrive à sa maison avec peine, avec angoisse :
L’enfant dans ses bras était mort."
31 mars 2018, 00:12
Une petite réminiscence..
Fou
https://www.youtube.com/watch?v=AlftMNmDH00