Les équipes du Groupe hospitalier Bretagne Sud participent à la semaine de la dénutrition du 12 au 20 novembre 2021. L’équipe des médecins et des diététiciennes du service est présente dans l’ensemble des services du GHBS. Au sein du GHBS, l’instance du Clan a pour missions d’améliorer la prise en charge nutritionnelle. L’alimentation est surveillée sur plusieurs jours
Les établissements médicaux publics français ont perdu un quart de leur capacité d’accueil, selon les données de la Drees. Dans certains départements ruraux, ce nombre a même été presque divisé par deux depuis 2000. Pour avoir un lit d’hospitalisation opérationnel, il faut du matériel mais aussi le personnel pour s’en occuper. R Bocher pointe "un manque d’attractivité pour le métier de soignant, faute de rémunération et avec des horaires à rallonge".
Pour Jean-François Cibien, cette baisse du nombre de lits a des conséquences directes sur la prise en charge des patients, (...)
Un programme de prévention de la santé par le sport et la nutrition
Ce programme est ouvert à tous et gratuit
Seule condition : s’engager à suivre deux cycles de 5 séances de marches et de participer aux ateliers nutritions et aux conférences
inscription soit par mail soit par sms soit à la maison de santé mercredi 10 novembre de 10h à 11h
Contact Valérie Felsemberg 07 86 28 36 70
Proposés par l’APSIG à l’Ancre de la Marine, mardi 9, de 18 h à 20 h. À Groix, l’idée de créer un "café mortel" a germé lors d’une réflexion collective au cours d’une formation organisée pas l’association Les semeurs de santé. Cette démarche également encadrée par l’ARS est soutenue par une mutuelle. Ce rendez-vous devrait être suivi de neuf autres dans des lieux différents.
Depuis de nombreuses années, je suis le témoin indigné de la casse du service public hospitalier en général et de celui de psychiatrie en particulier.
Depuis le début de la pandémie, je suis le témoin indigné de la démonstration par la situation réelle des effets de la casse en question sur l’hôpital.
Depuis que la pandémie fait moins parler d’elle, je suis le témoin indigné des effets cumulés de la pandémie et de la déconstruction du service public hospitalier.
En effet, les soignants de tous les statuts professionnels fuient en masse le service public (...)
.../...Pour commencer : l’hôpital. Ses qualités et ses défauts. Le principal défaut étant l’acceptation permanente de travailler dans des conditions matérielles et humaines de plus en plus dégradées. Aujourd’hui pour espérer que quelque chose bouge, il faut être dans un axe prioritaire de la direction et que les étoiles s’alignent. Les caisses sont vides, et j’ai honte quand je vois certains équipements sur lesquels je travaille (...)
France2 1/11/21 21.05
Paul Vidal, médecin de campagne, prend connaissance des messages de ses patients. Tous ont une tonalité identique et sonnent comme des appels de détresse. Une litanie de douleur, d’angoisse et de désarroi qui le plonge dans une profonde mélancolie. Malgré une vie de famille heureuse, il est au bord du burn-out.
Alors que les patients ne cessent de se multiplier (...)
Vieillir chez soi plutôt qu’en établissement est un idéal souvent exprimé dans les enquêtes "mais se posent alors les questions de l’adaptation des logements et des soins en cas de perte d’autonomie", insistent témoins et spécialistes. Le gouvernement français a annoncé lundi le lancement d’un projet pour la création d’ici 2026 de 500 habitats « inclusifs » pour personnes âgées au cœur des petites villes.
Le territoire national est à UTC +2 (c’est-à-dire deux heures de plus que l’universal time coordinated, l’heure de référence internationale) en été et UTC +1 en hiver.
Les chronobiologistes mettent régulièrement en garde l’opinion contre une trop grande désynchronisation entre lumière du jour et heure de l’horloge. "En imposant à l’horloge biologique un rythme qui n’est pas celui de la nature, on va exercer un stress sur l’ensemble des organes, résume J Adrien de l’Inserm. On a donc intérêt à ce que l’heure légale, soit la plus proche possible de l’heure solaire." (...)
Y. Freund : « Le malaise n’est pas apparu avec la crise sanitaire. Si les gens fuient l’hôpital public, c’est parce qu’ils se sont laissés ébouillanter par les pouvoirs publics pendant des années et qu’ils abandonnent avant d’y laisser toute leur peau. Ils le font maintenant parce qu’ils ne voulaient pas abandonner leurs collègues en pleine tempête Covid. Là, plus rien ne les retient, ils voient bien que rien n’est fait pour sauver l’hôpital public. »
P. Pelloux : "Quelque chose a été loupé. La crise monstrueuse que l’on connaît ne date pas d’hier mais d’avant-hier. (...)
Journée vaccination
L’ARS Bretagne, le SDIS et la commune de Groix organisent une journée de vaccination 3ème dose pour les personnes âgées de plus de 65 ans et pathologies à risque qui ont réalisé leur 2ème dose il y a au moins 6 mois.
Le vaccin proposé est Pfizer.
Possibilité également de 1ére et 2ème dose
Le décalage semble considérable entre la vision du gouvernement et celle, sur le terrain, des élus. "Les ARS ont une approche très administrative et doivent encore apprendre à parler avec les élus locaux. Il faut que les communes et les intercommunalités aient une compétence sur le pilotage local de la santé ».
Menu du jour :
Moules et crème à la bière de Groix
Julienne et Rouget, courges delicata, chou noir de Toscane
Poire en gelée et camomille du jardin et safran de Bretagne
Tout au long de la crise, les maires ont en effet été en première ligne pour gérer la situation. Faut-il rappeler qu’au tout début de la campagne de vaccination, le gouvernement tablait sur 600 centres de vaccination – soit six par département – et qu’il a fallu l’action résolue des maires pour que le nombre passe à plus de 1500 dès la fin février ?
Les auteurs de la tribune rappellent les relations compliquées qui se sont mises en place entre les communes, d’un côté, et les Agences régionales de santé (...)
Au plus profond d’une nuit automnale, e-kreiz ar mor, un homme d’une petite cinquantaine est victime d’un infarctus. Sa jeune et blonde compagne tarde à se réveiller et prend d’abord ses plaintes pour des gémissements cauchemardesques.
Le temps qu’elle trouve ses esprits... et son téléphone, une bonne dizaine de minutes s’est écoulée.
Chance, au 15, après avoir répondu trois fois aux mêmes questions et précisé aussi trois fois la date de naissance de son voisin de lit, on prend son appel au sérieux (1) et la prévient qu’on lui envoie pompiers et hélicoptère. (...)
Les départements de Normandie, de Bretagne et des Pays de la Loire, comptent parmi ceux ayant les taux de vaccination chez les plus de 12 ans les plus importants et 99 % pour la capitale.
À l’inverse, certains départements franciliens sont très peu vaccinés (72,8 % dans les Yvelines, ou 76,1 % en Seine-et-Marne).
Alors que les déserts "médicaux" s’étendent, 43 députés LREM appellent le ministre de la Santé à explorer une autre "voie" : la limitation de la liberté d’installation. Ces élus de la majorité avancent une proposition : définir, "à l’échelle des intercommunalités", des zones "surdotées avec interdiction de nouvelle installation dessus, comme cela existe déjà chez les kinésithérapeutes ou infirmiers". Ils appellent le ministre à se "placer du point de vue des patients et de l’opinion publique".
.../...Plusieurs leviers ont également été levés par l’ARS pour faciliter la recherche. D’abord, elle permet dorénavant la cohabitation de médecins salariés et libéraux au sein de la maison de santé. Une mesure dérogatoire, précise le président de l’Aspig. Par ailleurs, les îles bretonnes ont toutes été classées en zones fragiles, ainsi, “les aides à l’installation et tous les leviers accessibles, tant pour les libéraux que pour les centres de santé, sont possibles (contrat de solidarité territoriale avec une majoration d’acte, contrat d’engagement de service public, etc.)”, assure le médecin référent de l’ARS Bretagne.
Ce mardi 12 octobre a également été retenue une consultante à la suite d’un appel d’offres (...)