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Dossier Eaux en Bretagne

jeudi 27 octobre 2005, par Admin

Eaux de baignade. Le pessimisme
Estimée majoritairement bonne sur la côte atlantique, la qualité majoritairement reconnue des eaux de baignade suscite cependant quelques suspicions. Nombreux sont ceux, en effet, qui expriment la crainte que le niveau acceptable d’aujourd’hui ne se dégrade à l’avenir.
Le Télégramme 27/10/2005

Pollution. L’eau, première source d’inquiétude
L’opinion publique s’alarme autant de la pollution qu’elle redoute les difficultés d’approvisionnement. Et le double sentiment s’affirme largement, quels que soient les secteurs géographiques où l’enquête a été poussée et les catégories socioprofessionnelles des personnes interrogées.
Le Télégramme 27/10/2005

Eau du robinet. Un Breton sur deux n’en boit jamais
Pas de doute : les Bretons ont, pour leur eau du robinet, beaucoup de méfiance. Une méfiance qui varie toutefois beaucoup selon les professions. Les cadres sont 55 % à ne jamais boire d’eau du robinet alors que cette proportion tombe à 25 % chez les agriculteurs.
Le Télégramme 27/10/2005

Responsabilités. L’agriculture citée loin devant l’industrie
Les pratiques agricoles intensives sont considérées comme la source la plus grave de pollution. Si les cadres, les professions intermédiaires et les retraités placent l’agriculture en première ligne, les agriculteurs désignent l’usage des pesticides et engrais par les particuliers (34 %), devant les pratiques agricoles (30 %).
Le Télégramme 27/10/2005

La confiance en demain
« Oui, la classe politique et l’administration sauront faire respecter l’environnement et les normes de non pollution de l’eau », prévoient 47 % des Bretons Il importe de le constater, la confiance énoncée a priori n’est pas aussi fermement établie lorsque le questionnaire tente de la fonder sur des arguments précis.
Le Télégramme 27/10/2005