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Chien perdu (sans collier ?)

samedi 28 octobre 2006, par Admin

Niglo a retrouvé sa maison grâce à ce site

Stef

Aujourd’hui vers les 15h, sur la route des plages, à la hauteur de l’apéritif, trouvé ce porte-clef tout froid et tout tremblotant, au risque des pneus et autres prédateurs.

Commentaires

  • j’espère qu’il va vite retrouver ses maîtres il est tellement "mimi". Comment peux-t-on le laisser seul ? (à moins qu’il est échappé !)pauvre petite bête. En tous les cas merci à celui qu’il la ramasser.
    FX

    • ben oauis et si il retrouve pas ses maitres ben sera welcome chez ouam
      jplsk8

    • On ne s’inquiète pas pour lui ...
      Ses "sauveteurs" le garderaient bien aussi et , comme il est gentil, obéissant, et qu’il n’aboie pas pour un rien comme la plupart de ses congénères, je me ferais même violence, même si je préfère les chiens dans la taille "épagneul" ...
      OU, au prix que cela coûte, on pourrait aussi le mettre aux enchères et verser
      le montant de la vente au Secours Populaire....
      AM

    • Le chétif toutou est en effet trognon mais visiblement plus tout jeune, je ne pense pas qu’on puisse en tirer énorme aux enchères même au profit des bonnes oeuvres. Ce matin une personne a déjà postulé à l’adoption lors du passage au bourg pour la pose d’affiche concernant la trouvaille. Tu aurai certainement fais très "class" avec celui-ci à ton bras tatoué JP même si lui ne l’est pas. Comme deux gros chats sont déjà installés dans la maison je ne tiens pas à assister à un bain de sang donc je ne peux le garder. Là ou je l’ai trouvé il aurait certainement été rejoindre la longue liste de tout ce que l’on trouve aplati sur le bitume et que nettoient les corbeaux.

      je vous tiendrai au courant de la suite..

      Stef

    • moi, les incomestibles, c’est pas mon truc

      jpicart

    • Le Yorkshire est d’origine britannique. Dans " Le Yorkshire Terrier " de Mona Huxam, nous pouvons lire : " Au cours de la Révolution Industrielle, de nombreux travailleurs de l’industrie lainière quittèrent l’Ecosse pour gagner le Yorkshire où l’activité de cette industrie était à son plus haut niveau. Ils emmenèrent avec eux leurs chiens qui furent bien vite accouplés à ceux qu’ils découvrirent dans leur nouvel habitat.

      Les gens du Yorkshire, une race " rusée " en ce qui concernait l’élevage des chiens, ne furent pas long à apprécier les possibilités des nouveaux venus. Ils élevaient déjà une variété bien établie de Brokenhaired Terrier et ils comprirent combien il pourrait être intéressant de la croiser avec le Clydesdale à l’aspect plus exotique afin d’obtenir un type de chien plus rentable sur le plan commercial.

      Depuis la famille royale jusqu’au plus bas échelon de l’échelle sociale, l’intérêt porté aux chiens était alors considérable. Le public recherchait alors des chiens aussi bien d’aspect agréable que possédant de réelles qualités. Le désir des gens du Yorkshire de gagner " des sous " les poussa à créer une race de chiens qui pourraient remplir leurs fonctions habituelles, mais qui en plus paraîtraient agréables, désirables.

      A cette époque, les lois contre le braconnage étaient sévères. Si elles n’en arrêtaient pas la pratique, elles incitaient les contrevenants à ne pas se laisser prendre. A cette fin, ils utilisaient un petit terrier, pas plus gros qu’un furet, qui pénétrait dans les terriers pour en faire jaillir les lapins dans les filets tendus pour les capturer. Le chien et sa prise disparaissaient ensuite dans une des grandes poches du braconnier où ils restaient cachés en sécurité pendant le retour à la maison. Le noir et feu miniature constituait un choix parfait. Toutefois, son poil soyeux glissait sous la main. Souvent, alors qu’une retraite précipitée s’imposait, il se révélait si difficile à attraper qu’il devait être abandonné. Un poil plus long était nécessaire pour faciliter son extraction des terriers.

      C’est à ce stade que le Terrier Maltais pouvait intervenir pour permettre au braconnier d’atteindre son objectif. Ces petits Maltais étaient souvent ramener en Angleterre par des Marins qui les avaient achetés à assez bons prix dans les ports de la Méditerranée. Pour la plupart, ils constituaient des cadeaux plus qu’acceptables pour des parents. Occasionnellement, ils pouvaient être échangés dans les tavernes contre de la bière. Au cours des années, ces petits chiens furent recherchés par les marchands de grain car, en dépit de leur belle apparence, ils se révélaient d’excellents ratiers.

      extrait de la Grande histoire d’un petit chien.

      stef

    • Ces petits porte-clefs dont sont tant friandes "les mémés à chien-chien" ne descendent donc pas de la cuisse de Jupiter ?
      Chiens de braconniers, ratiers ... l’ascenseur social n’était pas en panne en ce temps-là :-))
      AM

    • J’l ai croisé pour le sauver,mais il a eu très peur ? Dommage !

  • Niglo,qui signifie voyageur (je n’ai pas poussé ma curiosité naturelle pour en connaître l’origine), à retrouvé sa maison grâce à ce site L’escapadeur invétéré malgré ces huit ans n’en est pas à sa première....

    Stef

    • L’envie d’une fugue

      Une suite à l’envie

      L’envie d’une danse

      Une gigue alanguie

      L’envie d’une fuite

      Quitte a s’en perdre

      Petit à risqué gros

      Ici, lui tire non chapeau

      Quitte, nous sommes quitte

      Fousdebassan