A. Jullien (l’Avenir de Groix) communique
Publié le 2 janvier 2016 à 10:20GROIX EN TRANSITION
colloque le 8 et 9 janvier à la salle des fêtes.
http://www.avenir-de-groix.fr/2015/12/groix-en-transition.html
Avec Laurent Labeyrie , spécialiste de paléo-océanographie,
et divers ateliers.
Pour s’inscrire : denise.jacquemin@wanadoo.fr
Embrassons-nous, Folleville !
Je remercie Mr Jullien de me faire l’honneur de proposer une publication sur mon blog (c’est ainsi que je traduis l’information que je reçois sur le colloque de l’Avenir de Groix).
Je la juge d’autant plus intéressante que le Président du COCIG appelle ses troupes à y participer.
Est-ce le signe de l’annonce prochaine d’une réconciliation générale ?
Après les aigreurs d’estomac étalées publiquement (http://www.avenir-de-groix.fr/2015/02/le-danger-dester-en-justice.html et http://cocig.org/?LE-COUP-DE-PIED-DE-L-ANE) et l’échange de courriels incendiaires entre "dirigeants", il semblerait donc qu’après avoir reconnu en privé que l’option judiciaire choisie par le COCIG n’était pas la meilleure, son président s’apprête à aller à Canossa.
J’avais, au temps de la décision à prendre, suggéré que le COCIG fasse appel à Maître Bourdon (dont j’avais pu juger de l’efficacité et du désintéressement lors d’un procès de DCN contre Bellaciao (http://bellaciao.org/fr).
Un avocat, plus soucieux de reconnaissance médiatique que de transmission des infos, a été préféré et le maire de Palais a alors sollicité l’avocat non retenu. Bien lui en a pris. Après étude, sa conclusion a été la même que celle du cabinet Schmitt pour Iles en danger : il ne faut pas ester en justice.
Est-ce reconnaître s’être fourvoyé que d’appeler les adhérents du COCIG à participer à une action de la première équipe dirigeant Iles en danger, ce qui aurait été jugé plus qu’impensable en février dernier ?
Je n’y vois pas d’autres raisons car le conférencier a des positions bien spéciales, pas tout à fait en accord avec les termes de la charte du COCIG. (http://cocig.org/?Charte-du-Collectif-Citoyen-de)
"Pour Laurent Labeyrie , les collectivités peuvent s’adapter aux risques de submersion et à l’érosion du littoral. A condition de ne protéger la côte que si l’enjeu économique ou culturel surpasse l’élévation du niveau marin." (La Gazette des Communes 23/12/15)
Les habitants des rivages menacés mais "sans intérêt économique" apprécieront ....
Commentaires :
2 janvier 2016, 17:25
Je connais une modeste maison de pêcheur près de la petite mer de Gâvres dont l’inondation n’empêchera pas ce Mr Labeyrie de dormir ... son emplacement n’a aucune valeur économique :-(
AM
3 janvier 2016, 11:49, par Labeyrie
Bonjour
Le texte semble montrer que la polémique intéresse plus son auteur que l’avenir de nos côtes face au réchauffement climatique. J’espère que je me trompe, et que l’auteur profitera de ma venue à Groix le Week end prochain pour me rencontrer et comprendre vraiment ce que pense "ce monsieur Labeyrie". D’ici là , il peut toujours lire mon bouquin sur le sujet "submersion, comment gérer la montée du niveau des mers", paru chez Odile Jacob... Peut être existe-t-il dans une bibliothèque de l’Ile de Groix ? Il faut toujours se méfier ds citations tronquées, on peut faire dire n’importe quoi à n’importe qui...
Cordialement, et tous mes voeux pour la nouvelle année
Laurent Labeyrie
3 janvier 2016, 12:00
Désolée mais la phrase n’est pas "tronquée", elle figure in extenso dans l’article de la Gazette des Communes, pas tellement connue pour oser falsifier des textes ! (je ne lis pas le Parisien ni ne regarde TF1 !)
C’est marrant la propension qu’ont certains à appeler "polémiques" les vérités qui dérangent :-(
AM
4 janvier 2016, 13:38, par Franck Le Gurun
Meilleurs VÅ“ux 2016 sous un soleil charmant.
J’avoue, bien humblement, ne pas saisir l’ensemble des raccourcis de cet article.
En quoi le COCIG se retrouve mêlé à L’AVENIR DE GROIX.
Que certains membres d’ILES EN DANGER jouent la double casquette, d’une association qui a été financièrement laminée par : 1 amateurisme. 2 acquointance.
3 arrangement entre amis. Les cotisants d’Iles en Danger apprécieront.
(Pour mémoire, la facture a coûté plus de trois cent cinquante cotisations à dix euro, à effet rétroactif. Les adhérants ayant été laissés dans le flou juridique. Dont ils ne sont sortis sans même le savoir, en blanc seing.
Ces mêmes membres se retrouvent dans une association politique d’opposition AVENIR DE GROIX, ayant un programme ! Ambitieux ! De nature à apporter ?
Je souhaite simplement qu’ils se rendront à pied, à cheval ou à vélo, pour ce colloque, ne serait ce que par éthique envers ses propres idées.
Mais là , tout reste à faire !!!
Bonne santé à tout le monde.
Franck Le Gurun
4 janvier 2016, 14:26
"le Président du COCIG appelle ses troupes à participer au colloque de l’Avenir de Groix"
4 janvier 2016, 23:20, par Franck Le Gurun
Venir écouter, ne veut pas dire adhérerer.
Cela ne reste qu’un colloque à cheval.