Lorient : Le privé se pose aussi la question des rythmes
Publié le 27 août 2013 à 17:36"Dans l’enseignement catholique nous ne sommes pas obligés de passer à la semaine de quatre jours et demi."
Thierry Bihan et ses cinq collègues de l’enseignement catholique qui ne sont "pas franchement convaincus de la nécessité" d’une telle réforme, estiment de plus qu’elle "est très difficile à mettre en oeuvre". En termes d’organisaion et de financement. D’autant que chez nous, il n’y a pas d’aide de la ville".
Ouest-France 27/08/13
Commentaires :
27 août 2013, 17:53
d’où l’on peut tirer deux enseignements :
l’école catholique groisillonne a bien de la chance que la municipalité ""de gauche"" prenne en charge la mise en place de ces nouveaux rythmes...
– les établissements privés lorientais ne se sont pas vraiment penchés sur les études des médecins concernant les horaires déments imposés aux enfants...
ou bien la santé des enfants passe-telle après le confort des enseignants et leurs jours de repos ???
AM
29 août 2013, 13:06
AM vous oubliez le caté le mercredi !!! P. B Nantes
31 août 2013, 07:42, par Anita
En Bref
Peillon :« Seuls 20% des enfants avaient jusque-là accès à une offre de loisirs périscolaires. Thierry Bihan : « les familles sont visiblement opposées à ce qu’on fasse classe le mercredi matin ».
J’ose faire la déduction : ces familles qui ont les moyens de payer l’école privée, ont aussi les moyens de payer les activités extra-scolaires de leurs enfants.
AM