Tout d’abord, devant l’aggravation des inégalités sociales nationales et internationales, les représentants du C.U.L. (dont il faut rappeler que tout membre du Fifig est adhérent puisque l’adhésion y est LIBRE ET OBLIGATOIRE...) ont décidé de modifier le nom de leur syndicat et de l’appeler dorénavant le CRI Universel de la Liberté, car, comme le dit si bien le Gaulois son porte-parole, il est de plus en plus nécessaire de crier.

Ils ont aussi attribué des prix car ils pensent que ce n’est pas juste que seuls des réalisateurs de films soient primés.

Ils ont donc donné le prix de l’Universalité à Mylène car ELLE EST PARTOUT !

Le plus beau et sympa tatoué du caillou a eu le prix "y a que les cons qui changent pas d’avis".

Après avoir été l’opposant le plus farouche du Festival, il a décidé de venir se rendre compte de visu de la situation catastrophique. Il ne s’est fait que des amis et reviendra l’année prochaine. A l’applaudimètre, pas photo : la décision est approuvée par le public.
devinez son remerciement ... ftw naturellement

Enfin, et pour montrer que le Syndicat majoritaire supporte en son sein l’apparition de tendances même dissidentes, Denis le fuhrer (qui, soit dit en passant prononce "fu" à l’espagnole) a eu un prix que j’appellerai d’encouragement.

Le nom des prix est ici purement fantaisiste car, pliée de rire, je n’ai pas pris de notes et ai oublié de filmer :-)