Fifig. Faites tourner les bobines !
Pour les professionnels, le festival procure de grandes frayeurs mais c’est ce qui fait tout son charme.Tout est fait « à l’arrache. On doit s’adapter, la scène sur l’eau, c’était n’importe quoi mais ça avait tellement de gueule ! » Il y a eu aussi la projection sur la plage avec un écran géant gonflable.
Le Télégramme 24/08/14

« Ne pas laisser disparaître la mémoire des pêcheurs »
Le Festival met à l’honneur quatre documentaires sur les pêcheurs des îles du Ponant et d’ailleurs. Rendez-vous avec ceux qui ont le « sel dans le sang ». « Lorsque tous les petits pêcheurs auront disparu, il nous restera quoi ? Le foncier : le caillou et de jolies maisons aux volets fermés... ».
Justin Daniel Freeman Le Télégramme 24/08/14

Phares. Un patrimoine enfin protégé
V. Guigueno a été nommé conservateur des phares, dans la mouvance du Grenelle de la Mer. Grâce, notamment, à l’action de la Société nationale du patrimoine des phares et balises, qui a joué un rôle déterminant en mobilisant sur le sort des phares, condamnés par le GPS.
H. Queillé Le Télégramme 24/08/14

Marc Pointud. « On va dans le bon sens »
L’État lui a accordé le droit d’occuper Tévennec, dans le Raz de Sein, pour le rénover en résidence d’artistes (un million d’euros de travaux).
L’État a reconnu les phares comme patrimoine maritime national et décidé de les ouvrir plus largement au public. On va dans le bon sens.
Le Télégramme 24/08/14

Jean Le Cam. « Un phare, c’est un symbole »
Président de l’association pour la sauvegarde de Penfret aux Glénan, il n’hésite pas à manier la débroussailleuse ou à travailler le béton, à l’instar des 150 autres bénévoles. l y avait un besoin vital d’entretien, les bâtiments étant abandonnés depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
Le Télégramme 24/08/14

Courant d’ère. On se gave
Cette année de Medef exigeant « des sacrifices », on a vu nombre de dirigeants se faire attribuer des augmentations indécentes. Les sociétés cotées en France ont versé à leurs actionnaires des dividendes à deux chiffres, en progression de 30 %. C’est immoral, c’est dégradant. Et, pour tout dire, c’est terriblement laid.
H. Hamon / Le Télégramme 24/08/14