En Bref
Publié le 12 août 2011 à 15:44La Nouvelle-Calédonie au coeur du 11e festival du Film
« La problématique de beaucoup de films est de développer un regard d’ici. Un cinéma kanak est né au début des années 90 ce qui nous permet d’avoir le regard d’un peuple sur lui-même » explique Yann Stéphant, le directeur artistique. C’est mercredi et c’est à Groix !
Ouest-France 12/08/11
Le festival du Film tient boutique sous les halles
Aux avant-postes, chaque matin, des bénévoles se relaient sous les halles pour tenir un stand d’information. Entre fruits de mers et légumes, les cartes postales, affiches désormais de collection et tee-shirts des éditions passées s’offrent aux visiteurs. www.filminsulaire.com
Ouest-France 12/08/11
Locmaria. Le feu de la plage a attiré la foule hier
Les enfants ont investi la plage pendant près de deux heures, pour s’affronter au tire à la corde et à la course en sac. Tandis que la dizaine de parents de l’amicale faisait des prouesses pour servir un public de plus en plus nombreux, les premières flammes s’élevaient des trois bûchers.
Le Télégramme 12/08/11
La collecte de sang accuse une baisse en août
Du côté des besoins la période estivale se surajoute à la tension permanente sur les réserves. « Il est indispensable de ne pas se relâcher, la maladie n’est jamais en vacances », rappelle le Dr Créac’h.« A l’occasion d’un passage à Lorient, les Groisillons peuvent venir à l’EFS . »
Ouest-France 12/08/11
US Groisillonne : un match contre le Cep samedi
Les responsables assureront une permanence au local, samedi, de 14 h à 16 h, pour le retrait des licences. A 15 h 30, le club affrontera le Cep Lorient à l’occasion d’une rencontre amicale. L’ensemble des joueurs, les amis du club et les supporters sont attendus nombreux.
Ouest-France 12/08/11
Accablant : Très secrètes agences de notation
Recherches bâclées pour cause de sous-effectif ; détermination des notes dans des réunions opaques, où le plus persuasif peut imposer ses vues, etc. Le système capable d’acculer un Etat à la faillite ressemble à une vaste conversation de comptoir. La question n’est plus de savoir comment autant de pouvoir a pu être concédé à autant d’amateurs. Mais bien d’imaginer les moyens politiques de ne plus marcher sur la tête.
N. DEMORAND Libération 12/08/11