En Bref
Publié le 8 mars 2011 à 11:00Journée des femmes. En lectures et en chansons
Des femmes de Groix ont décidé de chanter, lire des textes, raconter des histoires de femmes, citer des femmes célèbres et penser avec les hommes aussi à toutes ces femmes battues, victimes, soumises dans ce monde. L’Écume des Jours, prête aimablement son local.
Le Télégramme 08/03/11
Les squatters ne veulent pas quitter la maison Gavet
Pour ne pas perdre leur toit, ils organisent une assemblée générale mercredi soir, à 21 h, à la salle des fêtes. Selon C. Guiader, « Les maisons ne tombent pas du ciel. Ces jeunes devraient plutôt chercher à travailler. » Reste au conservatoire à déterminer la date de la démolition.
Ouest-France 08/03/11
Les histoires du 8 mars
La journée est dédiée aux revendications féminines pour l’accès à l’éducation, à l’égalité salariale, politique et sociale. F. Picq :« Le 8 mars n’est pas une tradition féministe, mais communiste. L’objectif étant de contrecarrer l’influence des féministes bourgeoises sur les femmes du peuple ; car si les militantes socialistes revendiquaient le droit de vote féminin, leur cheval de bataille restait la lutte des classes. »
L’idée fait son chemin. Jusqu’au 8 mars 1917, le jour où des manifestations d’ouvrières à Saint-Pétersbourg déclenchent la Révolution russe.
Sidonie Sigrist http://www.figaromadame.fr 08/03/11
Commentaires :
8 mars 2011, 11:49
L’objectif étant de contrecarrer l’influence des féministes bourgeoises sur les femmes du peuple ;
À première VUE, l’objectif est bien oublié ....
AM
8 mars 2011, 21:19, par Brahim Chouaki, squatteur de Kerbéthanie
Bonjour,
il est dit dans l’article que "aucun des occupants n’est inscrit sur la liste des demandeurs de logements sociaux"
J’ai moi-même fait ma demande début septembre 2009, et je l’ai "validée" en septembre 2010, puis j’ai fait une nouvelle demande en janvier 2011.
Il est aussi dit que "cela coûterait extrêmement cher de la réhabiliter et de l’entretenir", mais cela coûtera bien moins cher qu’une démolition (maison, garage, cuve a fioul, cuve de récupération d’eau, fosse septique, toits des cabanons en amiante etc…)
Brahim Chouaki, squatteur de Kerbéthanie
13 mars 2011, 15:57, par estelle
pourquoi ne pas laisser ces jeunes tranquilles.Ils ne dérangent personnes.Pas vous !pas moi.
13 mars 2011, 16:06
à qui parlez-vous Estelle ? au journal Ouest-France ?
alors vous vous trompez de porte ...
AM
13 mars 2011, 16:16, par estelle
je sais trés bien que un blog est un espace de discution.n’est ce pas cela que vous avez mis en place ?
13 mars 2011, 16:28
je me répète : qui est le vous avec qui vous discutez puisqu’il n’y a qu’un extrait d’article d’Ouest-France qui relate la position de l’adjoint au maire ?
Pour discuter, il faut un interlocuteur.
AM
14 mars 2011, 17:02
"Kerbéthanie"
C’est le nom de la propriété ou du lieu-dit ?
Dans les deux cas un peu d’histoire ce serait intéressant, car Béthanie ce n’est pas un nom anodin.
Pour ma part comme celà me rappelait quelque chose, j’ai vérifié et vue que Marthe patronne des hotelliers, était originaire de ce bourg proche de Jérusalem.
Si Kerbéthanie a un rapport avec cette histoire elle pourrait trés bien être réhabilitée en un lieu hospitalier où il ferait bon se désaltérer aprés une bonne marche sur l’ile, par exemple
C’est une idée de "touriste", mais celà profiterait à tout le monde.
Kichen
16 mars 2011, 01:22, par yvon
KER Béthanie
On peut même faire plus que se désaltérer, mais s’ y ressourcer réellement, dans ce lieu magique capable de résurrection, en ces temps d’ apocalypse nucléaire engendrée par l’ oligarchie mondialisée...
Béthanie est le village, en Terre Sainte, où habitaient les amis de Jésus, Marthe, Marie et Lazare.
C’ est au cimetière de Béthanie qu’ aurait eu lieu la résurrection de Lazare, par Jésus. La portée symbolique de ce miracle a répandu le nom de Béthanie. Le nom même laisse entendre que le village était une halte pour les pèlerins en marche vers Jérusalem, et que l’ on y soignait les malades et les nécessiteux, comme l’ indique l’ épisode de Simon de Béthanie qui était lépreux. Ce nom est donc naturellement associé aux oeuvres de charité envers les personnes en difficulté.
Il y a donc aussi des gens nécessiteux sur l’ Île, autant que des touristes nécessiteux qui ont déjà trouvé refuge dans cette maison bien nommée par Marie A. GAVET. Sa destinée est toujours en marche aujourd’hui. Elle est entre les mains de tous, et non des prédateurs petits chefs bureaucrates qui prétendent agir en notre nom... NON !
Raymond