Demain. Les retraités se mobilisent
Les retraités sont appelés à se rassembler à 10h30, devant la sous-préfecture. Les syndicats CGT, la CFDT, la CFE-CGC, la CFTC, la FGR et Solidaires demandent une augmentation des retraites pour faire face « à une baisse continue du pouvoir d’achat », estimée à 20% depuis 1993.
Le Télégramme 24/11/10

Retraites. Les syndicats interpellent le patronat
« Il faut relayer le débat dans les entreprises et interpeller les patrons ». La matinée s’est achevée devant la CCI. Faute de dialogue, les manifestants se sont rappelés au bon souvenir des dirigeants en signant leur passage par des dizaines d’autocollants apposés aux entrées de l’établissement.
Le Télégramme 24/11/10
Le Palais. Des manifestants peu nombreux mais déterminés
« Le combat doit continuer face à une loi injuste dont nous ne voulons pas, ont insisté les représentants de la CGT. ». Les cinq syndicats
représentés ont aussi rédigé ensemble une motion réexpliquant les enjeux et la nécessité d’une nouvelle réforme.
Le Télégramme 24/11/10

Banque alimentaire. Collecte vendredi et samedi
Les bénévoles demanderont aux clients de concentrer leurs dons autour de ces produits de base que sont les conserves à base de viande:cassoulet, ravioli, couscous, paella, pâté ; les conserves de poissons ; l’huile, le sucre, le café. La Banque alimentaire fonctionne toute l’année.
Le Télégramme 24/11/10

Les urgences de l’hôpital saturent depuis trois semaines
Le syndicat Sud Santé sociaux de l’hôpital tire a à nouveau la sonnette d’alarme sur la situation des urgences. « Cette situation est récurrente et témoigne d’un problème de capacité d’accueil en hospitalisation. » Le directeur de l’hôpital, reconnaît que « la situation est tendue.
Ouest-France mardi 23 novembre 2010
Urgences. Saturées depuis trois semaines
Le syndicat Sud Santé sociaux ade l’hôpital une nouvelle fois tiré la sonnette d’alarme. Évoquant un personnel « à bout, épuisé par une surcharge de travail liée à des manutentions démultipliées de patients et un planning sans cesse modifié pour pallier à l’absentéisme ».
Y. Madec Le Télégramme 24 novembre 2010 -

Trois questions à...Thierry Goyet
La fête de l’HUma Bretagne (27 et 28/11 à Lanester) est une fête populaire qui mêle la convivialité, la culture et les débats d’idées. Le PCF espère séduire de 8 000 à 10 000 personnes. C’est un moment pour se serrer les coudes, pour préparer une belle alternative à gauche.
Recueilli par Gildas JAFFRÉ. Ouest-France 24/11/10

La Cour européenne des droits de l’homme démonte le parquet français
Un arrêt rendu hier affirme que les procureurs ne sont pas des magistrats indépendants. C’est une décision un peu technique, mais politiquement explosive. La CEDH a mis son nez dans les affaires françaises et cela ne fait pas celles du gouvernement. Hier, elle a rendu un arrêt condamnant la France .....
S. Faure Libération 24/11/10
Le parquet n’est pas une autorité judiciaire indépendante
Les procureurs, qui ne sont indépendants ni du pouvoir exécutif ni des parties du procès, puisqu’ils engagent les poursuites et dirigent les enquêtes, ne sont pas des autorités judiciaires. Pour la réforme de la procédure pénale, un juge du siège devra valider chacune des atteintes à la liberté individuelle de l’enquête dirigée parle parquet.
LEMONDE 23.11.10
L’indépendance du procureur en France remise en cause
L’arrêt de la CEDH intervient en pleine polémique sur le rôle du parquet de Nanterre dans l’affaire Woerth-Bettencourt : fin octobre, le procureur Courroye a été forcé d’abandonner les enquêtes qu’il conduisait dans ce dossier, en partie parce qu’il était critiqué pour sa proximité avec le pouvoir.
T. Vampouille Le Figaro 23/11/10
Vers une indispensable réforme du parquet
Pour aller plus loin, l’excellente analyse du Credof, dont on appréciera la chute : On ne peut qu’être tenté de rappeler les mots du commissaire du gouvernement Guyomar qui, dans un autre contexte, appelait sagement à ne pas « accepter de fermer les yeux en attendant qu’on les ouvre pour vous à Strasbourg ».
http://libertes.blog.lemonde.fr/ 23/11/10

Dans les Scop, « les salariés ont tendance à se sentir plus impliqués »
Charles-Henri Montaut pointe une autre difficulté : « Du fait du partage des bénéfices avec les salariés-sociétaires, fatalement le chef d’entreprise récupère moins d’argent à la fin de l’année que dans une entreprise classique... Pas évident d’attirer des patrons, il faut une forme de vocation », conclut-il.
M. PIQUEMAL, E. AUFFRAY Libération 22/11/10