"Anita, de Groix"

"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire"

En Bref

Publié le 1er mars 2010 à 13:46

Mallardig. La BD dans la rue


Après une collation, offerte par le personnel du foyer de Créhal, le cortège a effectué le tour du bourg applaudi par un public bon enfant. « On a déjà choisi le thème de l’an prochain, ce sera la mer » disent les organisateurs.
Le Télégramme O1/O3/10

L’eau s’infiltre dans un boîtier : le bourg sans électricité
Un agent (venu du continent) a pu constater qu’un boîtier avait perdu son étanchéité. Dans cette partie du bourg qui compte plusieurs commerces, cette coupure n’a pas été sans conséquences. En milieu de matinée, la plupart des commerces étaient fermés. .
Ouest-France O1/O3/10

Des débats avec Ensemble pour une Bretagne à gauche
Menée par Annick Monot et Gérard Perron, la liste « Ensemble pour une Bretagne à gauche » tiendra trois réunions publiques : .../... jeudi 4 mars à 20 h, au palais des congrès à Pontivy ; vendredi 12 mars à 20 h, à la salle du Vallon-Boisé à Hennebont.
Ouest-France O1/O3/10

Vigilance autour de la transposition de la directive services
L’Unccas et l’Uniopss appellent parlementaires nationaux et européens à la vigilance sur les conséquences de la transposition de la directive services dans le secteur de la petite enfance : « L’introduction d’un financement par la seule solvabilité des familles » avec, de facto, la mise à l’écart des foyers les plus pauvres.
Hélène Girard la.gazette-sante-social.fr/
La directive "services" en bref
La directive services vise à libérer le potentiel de croissance des marchés de services en Europe en éliminant les obstacles juridiques et administratifs qui freinent les échanges dans ce secteur. Les mesures de simplification prévues devraient faciliter la vie et accroître la transparence pour les PME souhaitant offrir des services au sein du marché unique.
http://ec.europa.eu/internal_market/

L’imposture "croissanciste"
L’économiste Jean Gadrey démontre dans Alternatives économiques de février : "Produire des biens (ou des services) de façon écologiquement durable ou socialement préférable exige plus de travail que produire les "mêmes" biens en détruisant les ressources naturelles et le climat, ou en industrialisant les services."
On créera plus d’emplois en accordant plus d’importance à l’écologie. Encore faut-il reconnaître la gravité du changement climatique et la crise écologique.
Hervé Kempf LE MONDE | 27.02.10 |

Commentaires :

  • créer des vrais emplois pour fabriquer des vrais et bons produits rendra certainement plus heureux que consommer plus de merdes à 1€ ! ceux qui stigmatisent la décroissance ne pensent que personnels sous-qualifiés donc bas salaires !

  • Au sommaire
    sous réserve de modification en fonction de l’actualité

    Les décroissants, moins consommer pour mieux vivre ?
    Un reportage de Sophie Romillat & David Geoffrion

    Les sociologues les appellent les "décroissants". En France, ils sont de plus en plus nombreux à refuser de consommer toujours plus. Ils refusent la spirale de la société de consommation. Quand le reste de la population ne songe qu’à augmenter son pouvoir d’achat, les décroissants préfèrent travailler moins, gagner et dépenser moins. Il ne s’agit pas de jeter tout ce qu¹ils possèdent, mais de diminuer progressivement leur consommation en adoptant une vie économe, basée sur le système D. Tout un programme qui séduit de plus en plus les Français. Impossible de connaÎtre le nombre de "décroissants" en France, mais c¹est une tendance réelle, une stratégie d’adaptation à la crise de moins en moins marginale. Les "décroissants" ne sont pas des radins, mais des écolos qui privilégient le système D. Concrètement, ils économisent l’énergie, l’eau, l’électricité et l’essence, limitent leurs déchets, ils se déplacent le moins possible en voiture ou en avion, boycottent les grandes surfaces, mangent des aliments bios produits localement pour limiter le transport et les emballages. Alors, qui sont ces "décroissants" ? Quelles sont leurs solutions pour acheter de moins en moins, pour limiter leurs déchets ou encore éviter la voiture ? Rencontre avec ces consommateurs qui ont décidé de changer de mode de vie. Alexandre vit en banlieue parisienne animé par un objectif singulier, consommer le moins possible. Il passe son temps à traquer le gaspillage. Bénédicte vit dans une tente traditionnelle dans les Hautes Alpes, à 1 000 mètres d’altitude au milieu de nulle part. Il existe aussi une nouvelle génération de décroissants, ils sont jeunes, ils habitent dans les grandes villes et ils gagnent très bien leur vie. Comme Audrey, ingénieur commercial à Lyon, qui récupère les cageots entiers de légumes abÎmés laissés par les commerçants à la fin du marché.

    Ceci est le compte rendu d’un reportage "d’envoyé spécial" sur France 2 essayez de le voir ou le revoir moi je n’ai pas réussi, si vous y parvenez faites vous une idée de ce que sont "ces décroissants" des fous furieux , rétrogrades et dangereux des petits bourgeois bobos illuminés qui mangent dans les poubelles avec 5000 euros de revenus mensuels à deux et qui refusent de consommer bel état d’esprit ......Olive pas décidé "à chier" dans la sciure !!

  • Ben Olive, on tire sur tout ce qui bouge, même les potes ?

    J’ai toujours été "décroissante" mais décroissante raisonnée : ne rien gaspiller, éteindre les lumières, ne pas changer de voiture en fonction de la mode, recycler ce qui peut l’être, acheter du matériel de qualité et le garder jusqu’à l’extrême fin, emprunter les livres en bibliothèque ou si pas possible les acheter en poches, ne pas aller en vacances, se fringuer au moment des soldes des solderies (si si)
    mais continuer à avoir table ouverte pour les copains, même si je ne leur offre que du vin en cubi et souvent de la viande braisée :-)

    La différence avec les décroissants dont tu parles c’est le solde de mon compte en banque. Le mien avoisine le zéro et eux doivent investir dans des actions d’entreprises "raisonnables" pour l’avenir de leurs enfants.

    Tant que je ne te demande pas de vivre comme moi ...

    Chacun fait fait fait, ce qu’il lui plaÎt plaÎt plaÎt ... tant qu’il apporte son écot aux finances de la collectivité en payant ses impôts.

    AM

  • C’est ainsi écrit : le solde de mon compte en banque

    Ne serait ce pas du coté des banques qu’il faudrait voir et de la façon
    d’on "elles" avec action en prime manipulent le monde.

    Olive en tant que chasseur tu te trompe de cible

    Tu te conçois prédateur

    Mais tu est une proie

    Tout comme moi

    Stef

  • Pas de lézard je suis bien une proie je ne le conteste pas mais pas d’erreur non plus je parle de "ces décroissants" qui refusent de consommer tout court qui ne pensent pas comme vous et moi que tout le monde à droit de vivre et manger grâce au produit d’un travail. Si tout le monde attend la fin du marché pour faire les poubelles il n’y aura plus de marché...de même si on attend tous la "récup" il n’y aura plus de récup. olive

  • Olivier,
    ni "bobo",ni "baba",ni "folle furieuse",je "chie" pourtant dans la sciure durant toutes mes vacances,encore bien contente quand un agriculteur me prête un robinet d’eau froide pour me laver et une pâture pour faire manger les bêtes et planter la tente !

    Les campings ne nous aiment pas beaucoup... ou alors fin septembre quand il n’y a plus personne ! j’en ai pris mon parti !...Ni "bobo",ni"baba",un peu "barge" peut être !...............Elizabeth Mahé

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