Commentaires :

• 29 août 2009, 11:55, par Gilbert Nexer

  udrain d’abord, avec Yann Stéphant ensuite, nous avons toujours essayé de programmer des documentaires de qualité sur les iles du Ponant et Groix, et si je présent souvent, non pas un film, je n’ai pas cette prétention, mais des témoignages filmés par moi, c’est que nous n’avons rien d’autre sur Groix.
  Je ne sais pas si je continuerai à m’occuper de ce dimanche après-midi du Festival, ce que je sais par contre c’est que rencontrer les gens, leur faire dire leur histoire, leur vécu dans tous les domaines, ça oui je continuerai à le faire même si ça n’intéresse pas Melle St Quirce. J’aime les gens, leur humanité, leur simplicité...
  En parlant du Biche dont on dit qu’il ne restera pas grand chose du bateau d’origine, Marc Maussion déclare :" Il restera l’essentiel : son histoire, son âme, son vécu."
  Dimanche dernier, au cinéma des familles, deux groisillons, patrons de pêche sur ces thoniers, ont porté témoignage de leur histoire et de leur vécu.

  Gilbert Nexer

• 29 août 2009, 23:27, par Gilbert Nexer

  La 1ère partie du texte ci dessus ayant disparu, je le redonne ci-après.

  "A la pêche aux groisillons dans les salles obscures. - Il paraÎt qu’on les trouve le dimanche après-midi (du festival) au Cinéma des Familles. Les groisillons ne s’intéresseraient qu’à leur ile ?"
  Ce texte du Télégramme du 24/08 cité dans ton blog, Anita, donne de ces personnes une image tellement négative que je me sens obligé de les défendre. S’intéresser à son ile, à son histoire, à ses racines et y apporter sa contribution me semble aussi valorisant que rester scotché devant sa télé ou allongé sur une plage.Mes amis du festival s’arrangent d’ailleurs pour programmer au même moment des documentaires de grande qualité comme "22,Hospital Street" primé à un précédent festival, obligeant plusieurs spectateurs du cinéma des familles à se précipiter à Port-Lay sitôt fini le film sur les frères Nexer. D’autre part j’ai constaté qu’il y avait autant de groisillons d’adoption et même "d’étrangers" que de groisillons de souche dans la salle. Ils sont les premiers à m’encourager et certains d’entre eux, qui vivent ici à l’année, m’ont dit qu’en écoutant ces témoignages ils prenaient connaissance de l’histoire de leur pays d’adoption, qu’ils avaient l’impression de se l’approprier.
  Bien sûr cette séance n’attire pas les professionnels du documentaire qui naviguent dans les eaux de Port-Lay, ni même les responsables du Fifig. Pourtant depuis l’origine, avec Emmanuel Audrain d’abord et avec Yann ...

• 29 août 2009, 23:43

  La 1ère partie du texte ci dessus ayant disparu

  cette première partie n’avait pas eu la chance d’arriver jusqu’à notre blog.
  Erreur de manip, cher Gilbert ?

  Par ailleurs, en ce qui concerne les responsables du Fifig absents lors de la projection des films groisillons, je pense qu’il suffit de savoir la somme de boulot qu’ils ont abattue pendant le mois précédent et les urgences qu’il reste à régler (démontage, expédition, accompagnement des départs, nettoyage) pour ne pas digresser sur le fait qu’ils ne se sont pas posés le c..l dans un fauteuil l’après-midi du dimanche.

  Tout cela état fort bien exposé à la réunion de débriefing du lundi où les parties prenantes étaient invitées à s’exprimer. Là aussi, il y avait des absents...
  AM