Le film insulaire montre les bobines
Organiser l’événement sur l’île présente des contraintes de transport mais place l’insularité au coeur de l’événement. En marge de la programmation de films, des musiques d’Haïti, de Cuba ou du Cap Vert sont programmées tous les soirs en plein air à Port-Lay.
Le Télégramme 07/08/2009

Atelier Grenat. Les artistes exposent au fort du Grip
Les petites salles voûtées sont autant d’écrins pour les toiles colorées et les sculptures en terre. Vallons, landes, villages mais aussi scènes de vie maritime ou natures mortes : chaque artiste restitue avec sa sensibilité et sa technique propre les ambiances de Groix.
Le Télégramme 07/08/2009

La Route de l’amitié croise la Fête de la mer
Pour les élus locaux comme pour les organisateurs, l’escale est devenue incontournable et elle rassemble une foule impressionnante sur la pelouse du Gripp. On y croise pêle-mêle beaucoup de Groisillons, des touristes et une grande partie des équipages de la Route.
Ouest-France 07/08/2009

« Des adultes fuyants, des ados sans modèles »
Il faudrait dire aux ados où est le droit, la norme, que l’on soit d’accord ou pas avec. C’est une illusion de croire qu’en renforçant la loi, on amènera l’ado à être plus rigoureux. Il faudrait aussi créer des groupes de parole pour les familles, pour ne pas laisser le désert s’installer, sinon la violence peut émerger.
Recueilli par Agnès LE MORVAN. Ouest-France 07/08/2009

20% des jeunes ont des problèmes de lecture
Voilà ce qui ressort de l’évaluation du ministère de l’Education, réalisée à partir des tests passés lors de la Journée d’appel de préparation à la défense de 2008.
Parmi les jeunes en difficulté, 80% n’ont pas dépassé le collège ou un cursus professionnel court.
http://www.liberation.fr/ 06/08/2009

Soutien aux banques : pas obligatoirement une bonne affaire pour l’Etat
Les sages de la Cour des Comptes épinglent l’absence de représentants de l’Etat dans les Conseils d’administration des banques en contrepartie des prêts accordés. L’Etat pourrait mettre la main à la poche dès lors que les fonds levés pour les banques alourdissent le montant de la dette publique et les intérêts que l’Etat devra payer pour emprunter.
http://lamouette.blog.lemonde.fr/ 06/08/2009