"Anita, de Groix"

"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire"

En Bref

Publié le 20 mars 2009 à 13:00

Près de 200 personnes ont manifesté jeudi sur l’île


Yann Boterf, au nom du collectif groisillon : « Ce n’est pas à la population de payer la crise ! ». La dernière oratrice évoque : « La casse d’EDF, les réorganisations de travail à la Poste, l’augmentation des tarifs de transport chez Véolia, le risque de suppression de poste à l’école... »
Ouest-France 20/03/09

Manifestation. 150 personnes pour la solidarité


Des intervenants ont pris la parole pour évoquer les préoccupations concernant l’emploi, le démantèlement des services de proximité et la difficulté pour les jeunes entrepreneurs qui ne trouvent pas l’appui des banques pour se développer.
Le Télégramme 20/03/09

Clinique du Ter. 45 salariés dans la rue
Les représentants des salariés veulent obtenir des réponses jeudi prochain lorsqu’ils rencontreront leur direction. Ils vont aussi lancer une expertise comptable dès la semaine prochaine pour connaître l’état des finances de la clinique.
Le Télégramme 20/03/09
Manifestation. Ils étaient plus de 20.000
Une mobilisation que l’on n’avait pas vue sur Lorient depuis très longtemps. Le record a été à nouveau battu hier où ils étaient très certainement entre 20 et 22.000 dans les rues. Un cortège plus étoffé avec une grande mobilisation des étudiants et du secteur privé
Le Télégramme 20/03/09
Une grande détermination dans les rues du Morbihan
A Vannes, la manifestation d’hier a été encore plus suivie que celle du 19 janvier. A Vannes, la manifestation d’hier a été encore plus suivie que celle du 19 janvier.
Record à Lorient ! Mars dépasse janvier à Vannes ! Pontivy maintient la pression !Et c’était jour de manif sur les quais du Palais.
Ouest-France 20/03/09

La radicalité, dernier espoir pour salariés en détresse
A la violence des relations sociales s’ajoute le sentiment que la situation économique n’est due qu’à des financiers qui ont joué avec le feu. Le gouvernement, en passant en force sur des projets sociaux, alors même qu’il s’était engagé à respecter la négociation collective, décrédibilise des confédérations déjà fragilisées par la faiblesse de leurs effectifs. Mais qui sème la division syndicale pourrait bien finir par récolter le chaos social…
LUC PEILLON Libération 20/03/09

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