Inviter des amis dans un resto super sympa (merci PQ et bon vent pour la suite).

Puis traîner sur une terrasse de bar où l’on rencontre avec plaisir quelques relations et finir chez les camarades du NoroÎt où l’on se retrouve en pays de connaissance mais en amalgamant quelques touristes dans les conversations. (surpris les "gourzoutes" de se fendre la pêche avec deux octogénaires...)

C’est à mon avis comme cela qu’on transmet l’amour de Groix à ceux qui n’en ont pas hérité à la naissance.

En espérant que ces touristes reviendront, feront marcher le commerce (sans se faire estamper ...), et participeront au maintien de quelques emplois sur l’île (bientôt payés correctement ?)).

Faut-il que je cite les discoureurs que l’on ne rencontre jamais dans ces lieux de convivialité ?