En Bref
Publié le 17 février 2009 à 13:52Avec José Calloch, le matelotage c’est facile !
« J’ai appris les noeuds marins avec mon père. Si l’on a besoin de faire un noeud de chaise de nuit, il faut pouvoir reproduire le geste, et là les schémas ou autre moyens mnémotechniques sont peu efficaces. En dix minutes maximum on prend le coup.Tout est dans le geste ! »
Ouest-France 17/02/2009
L’Idéros, ancienne goélette de Groix, se raconte
L’Idéros, dont le capitaine armateur était Yves Salahun, fait partie des embarcations aux multiples vécus. Ce navire aurait été racheté et participera à une nouvelle aventure en 1946. (1) « Les Groisillons et la marine marchande ». Association la Mouette (2004)
Ouest-France 17/02/2009
Des millions d’euros pour les ports de Lorient
JY Le Drian « Tous ces projets d’aménagement sont portés par le pays de Lorient depuis des années. La Région a décidé de les accompagner, pour qu’ils se concrétisent rapidement. Nous avons considéré qu’ils étaient prioritaires. »
Propos recueillis par Françoise ROSSI. Ouest-France 17/02/2009
Port. La Région sort son chéquier
C’est un chèque de 21 M€ que la Région vient de signer en faveur d’investissements portuaires à Lorient. JY LeDrian s’est transformé, hier, en Père Noël. C’était prévu, mais on est tout de même rassuré quand l’argent se trouve sur la table
Sophie Paitier Le Télégramme 17/02/2009
Rejet des vases. L’analyse du docteur Laurent Labeyrie
« Chaque année, une fraction de chaque port serait nettoyée, impliquant à chaque fois quelques milliers de m³ de vase pas encore contaminée, dans des zones éloignées des zones protégées, et soumises à houle et forts courants pour disperser les dépôts au plus vite ».
Le Télégramme 17/02/2009
Métiers de l’hôtellerie. La réforme du bac pro inquiète
« Nos professions n’ont pas été consultéessur leurs besoins ». L’Umih, qui recrute des titulaires de bacs pros « cuisine » et « service en salle », réclame le maintien des différents niveaux de formation actuels : CAP, BEP et bac professionnel en quatre ans.
Le Télégramme 17/02/2009
Censure de la presse
le 17 février 1852 - Le président de la République, Louis-Napoléon Bonaparte, établit un ensemble de mesures préventives et de sanctions visant à mettre la presse au garde-à-vous.
Le Figaro 17/02/2009 (sic)