"Anita, de Groix"

"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire"

En Bref

Publié le 16 mars 2016 à 20:02

Le Cinquante obtient sa première Toque
J.L. Farjot : « Cela a été long car les inspecteurs des guides ne se déplacent pas facilement hors du continent ». Il faut dire que ce natif de Lannion a du métier, après être passé chez des étoilés, dont Troisgros, et avoir tenu pendant plus de dix ans le restaurant de Lelouch à Deauville. Bien chez eux à Groix, le couple est impliqué dans la vie locale.
Ouest-France 16/03/16

Un programme riche pour les randonnées patrimoine
Les randonneurs pourront s’initier à la dentelle traditionnelle ou au qi gong, et, bien sûr, déguster les produits locaux avec des pique-niques et lors d’un marché des producteurs le samedi, à 18 h, à la salle des fêtes. Le samedi soir, un repas préparé avec des spécialités locales réunira les randonneurs à la salle des fêtes. La soirée se poursuivra par un fest-noz.
Ouest-France 16/03/16

Musée. Groix entre 1939 et 45
Dimanche, journée portes ouvertes au musée ; à partir de 14 h 30, présentation de l’ouvrage « Insulaires dans la tourmente : Groix 1939-1945 »(224 pages), dédicace et verre de l’amitié.
Le Télégramme 16/03/16

Conférence. « La division du sujet dans la psychose »
Avec F. Leguil, psychanalyste à Paris et membre de l’École de la cause freudienne, samedi, à 14 h, à l’hôpital du Scorff. « Entre croyances paradoxales et certitudes envahissantes », c’est par l’éclairage de la psychose que F. Leguil nous dira quelque chose de nos croyances modernes à une époque où les certitudes scientifiques ou religieuses participent au malaise actuel.
Le Télégramme -16-03-16-

Neuf phares bretons viennent d’être classés
L’inscription montre que le bâtiment présente un intérêt suffisant pour bénéficier d’une protection toute particulière. Le classement, lui, garantit également cette protection mais il est adopté quand sa conservation présente un intérêt public au niveau historique et architectural. Dans les deux cas pas question de vendre ou de mener des travaux sans en informer les autorités.
B. Pellan Le Télégramme 16/03/16

Le numérique. Les données publiques en ligne
Près de 90 jeux de données sont actuellement téléchargeables, en lien avec les compétences de l’agglomération.À disposition de chacun, qu’il soit simple citoyen, chercheur, étudiant, élu... Une volonté de transparence et de modernisation voulue par les élus. Open data, ouverture des données publiques, à consulter via lorient-agglo.fr ou sur la plateforme data.gouv.fr
Le Télégramme 16/03/16

Transports scolaires : les inconnues du transfert aux régions
E. Breton : "la question d’harmoniser les tarifs risque de s’imposer aux régions, afin qu’il y ait une égalité devant le service public sur le territoire régional ». Les régions qui opteront pour une participation unifiée des familles devront faire accepter aux habitants bénéficiant de la gratuité ou d’une tarification plus avantageuse de devoir payer ou de payer plus. Pas facile
S. Benabed la Gazette des Communes 11/03/16

Coupes dans la FPT : les élus LR divisés
Si, parmi les principaux candidats à la primaire pour la présidentielle, la proposition fait consensus, sur le terrain, le propos est plus contrasté. J.L. Rigaut (UDI) « Les élus locaux ne sont pas inconscients. Ils savent adapter le nombre de personnels en fonction des services rendus à la population. La recette de Sarkozy relève plus du fast-food que de la gastronomie ».
E. Guillemain d’Echon J.B Forray la Gazette des Communes 15/03/16

Agents des services sociaux parisiens en grève
« Le nombre de personnes en grande difficulté augmente et nous n’avons pas de solutions concrètes. Nous devons expliquer la situation en quelques minutes, ce qui est très frustrant pour les professionnels et peut déclencher la colère des personnes en attente, avec, à la clé, un climat très tendu », explique une assistante sociale en grève.
S. Le Gall la Gazette des Communes 15/03/16

« ...comme les médecins face à leurs malades »
V. Decker : « Les reculs sociaux que nous connaissons sont très violents et personne n’en parle. » Elle décrit le froid, la faim, le manque d’attention subis par certains enfants. Ceux qui dorment dans la rue. « Ce n’est pas l’ascenseur social qui est en panne mais le plancher qui est percé. Certains ont traversé le plancher du rez-de-chaussée. C’est extrêmement difficile à accompagner ».
S. Ducatteau L’Humanité 16/03/16

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