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Écomusée. Du matelotage pendant les vacances
Couvrant les périodes de vacances des trois académies, le planning d’activités de matelotage de l’écomusée est ouvert aussi bien aux adultes qu’aux enfants à partir de 6 ans (réservations à l’accueil du musée), et propose des séances d’initiation aux noeuds marins.
Le Télégramme 07/02/09
Apprendre les noeuds marins, ça vous dit ?
Du 7 février au 8 mars, le musée est ouvert du mercredi au dimanche inclus. « L’entrée est gratuite pour les habitants de l’île entre le 16 septembre et le 15 avril », rappelle Sylvie San Quirce, le conservateur. tél. 02 97 86 84 60
Ouest-France 07/02/09

Les percussions brésiliennes vont résonner
La Ville de Colombes organise un séjour artistique pour 50 jeunes, durant les vacances, du 15 au 22 février. Différents ateliers seront mis en place notamment à la salle des fêtes, de façon à associer les Groisillons de 11 à 16 ans.
Ouest-France 07/02/09

Ile-aux-Moines. Un abri de jardin contesté
Le tribunal administratif a annulé l’arrêté par lequel le maire ne s’est pas opposé à la déclaration préalable de travaux déposée par un particulier en vue de réaliser un préau. Pour le tribunal, ce préau méconnaît les dispositions du PLU.
Le Télégramme 07/02/09

Une lettre au syndicat mixte et au conseil général
Le collectif « Alerte aux vases » se dit « indigné par le comportement des responsables du Syndicat mixte des ports du Morbihan ». Il s’explique : « Les travaux ont commencé aujourd’hui à LaTrinité alors que l’audience du référé est dans deux semaines ».
Le Télégramme 07/02/09

Nautisme. Concilier navigation et écologie, un enjeu d’avenir
La vague écologique va-t-elle submerger le milieu du nautisme ? « Le but de cette journée, c’est d’échanger sur les innovations technologiques, explique Yann Dollo de la CCIM. On peut piocher des idées dans d’autres secteurs. ».
Le Télégramme 07/02/09

Éoliennes. Le permis annulé à Guern
Le TA de Rennes fonde cette nouvelle décision sur le manque de précision des études d’impact et la minimisation des nuisances sonores. L’État a été condamné à verser 1.000 € à l’ACPEG qui pourrait désormais demander la destruction des installations.
Le Télégramme 07/02/09