"Le Bien commun en partage"
Publié le 23 avril 2015 à 09:51Rencontre-débat organisée par "l’UPC Ici et ailleurs".
avec la participation de l’UPIG et du COCIG
Le samedi 25 avril 2015 A Port-Lay à 18h15 :
Les intervenants exposent en une vingtaine de minutes leur(s) points de vue sur le sujet. Puis... dialogue avec remarques, observations, questions de la part des auditeurs
Participation libre
Commentaires :
26 avril 2015, 10:58
à propos de biens communs partagés... http://groix.revolublog.com/appel-a-piller-les-poubelles-a117425138
Pillage & partage de poubelles à Nantes jeudi (eh oui on risque 7 ans de prison et 100 000 € d’amende pour "vol en réunion"... et 1 an + 15 000 € pour refus de prélèvements signalétiques photos, adn et empruntes digitales)
Keru
26 avril 2015, 11:11
" Les pauvres devront toujours se courber plus, jusqu’à bientôt n’avoir d’autres choix que de se plier aux heures et aux lieux de distribution de repas en villes. "
Il fallait bien qu’il y ait une phrase démolissant par son manque de sérieux toute envie de participer à quelque mouvement que ce soit !
Que vont penser les bénévoles qui donnent de leur temps et de leur énergie pour distribuer des repas à de personnes qu’il ne faut pas bousculer dans leurs petites habitudes à horaires décalés ?
AM
26 avril 2015, 12:15
Les bénévoles dont tu parles Anita, se diront probablement qu’avec ces nouvelles lois, ils vont avoir beaucoup plus de travail, et qu’illes ne seront pas plus nombreux-ses pour l’abattre...
Keru
26 avril 2015, 13:17
ce qui est important pour ces bénévoles c’est d’aider les personnes réellement dans le besoin, augmentation de travail ou pas !
AM
26 avril 2015, 13:38
Alors illes seront d’accord avec nous...
Keru
26 avril 2015, 14:28
sauf pour votre demande d’horaires adaptés aux demandes farfelues
AM
26 avril 2015, 16:37
Ah je crois que tu as mal lu. On ne demande rien à part le droit de récupérer la bouffe gaspillée quand on veut...
Keru
26 avril 2015, 16:54
" Les pauvres devront toujours se courber plus, jusqu’à bientôt n’avoir d’autres choix que de se plier aux heures et aux lieux de distribution de repas en villes. "
AM
27 avril 2015, 08:48
C’est déjà le cas de celles et ceux qui n’ont plus l’énergie de sauter par dessus les barrières et grillages des supermarchés...
Keru
27 avril 2015, 09:01
tu dis "on ne demande rien"
Je te prouve que tu demandes des horaires à la carte
et, comme d’hab, tu réponds à côté.
Bon on arrête là , on retombe dans les mêmes ornières que par le passé.
AM
27 avril 2015, 10:38
Oui, il semble que nous usions du même language, mais que nous interpretons les mots que nous utilsons, de manière différente...
Keru