"Dans l’enseignement catholique nous ne sommes pas obligés de passer à la semaine de quatre jours et demi."
Thierry Bihan et ses cinq collègues de l’enseignement catholique qui ne sont "pas franchement convaincus de la nécessité" d’une telle réforme, estiment de plus qu’elle "est très difficile à mettre en oeuvre". En termes d’organisaion et de financement. D’autant que chez nous, il n’y a pas d’aide de la ville".
Ouest-France 27/08/13
Commentaires :
1. mardi 27 août 2013 à 17:53
d’où l’on peut tirer deux enseignements :
l’école catholique groisillonne a bien de la chance que la municipalité ""de gauche"" prenne en charge la mise en place de ces nouveaux rythmes...
ou bien la santé des enfants passe-telle après le confort des enseignants et leurs jours de repos ???
AM
2. jeudi 29 août 2013 à 13:06
AM vous oubliez le caté le mercredi !!! P. B Nantes
3. samedi 31 août 2013 à 07:42, par Anita
En Bref Peillon :«Seuls 20% des enfants avaient jusque-là accès à une offre de loisirs périscolaires. Thierry Bihan : « les familles sont visiblement opposées à ce qu’on fasse classe le mercredi matin ». J’ose faire la déduction : ces familles qui ont les moyens de payer l’école privée, ont aussi les moyens de payer les activités extra-scolaires de leurs enfants. AM
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